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Actualités

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Une nouvelle réserve naturelle pour l'Université Laval

24 septembre 2015

Située à Saint-Augustin-de-Desmaures, la réserve naturelle de la Station-Agronomique-de-l’Université-Laval protège près de 14 hectares sur la rive du fleuve Saint-Laurent, dont un écosystème forestier exceptionnel. Permettant la préservation de ce lieu d’étude et d’expérimentation unique pour des étudiants de nombreux programmes d’études et domaines de recherche dont ceux en foresterie et en environnement de la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique, cette reconnaissance est le résultat d’une démarche amorcée par l’Université. 

crédit photo: Martine Lapointe

Lire l'article complet dans le Fil

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Stéphane Roche, ingénieur en géomatique

22 septembre 2015

"Les gens sont étonnés de constater la place que prend la géomatique dans leur vie quotidienne, que ce soit lorsqu'on leur demande leur code postal à l'épicerie pour faire du géomarketing ou lorsqu'ils publient des éléments géolocalisés sur Facebook. » mentionne Stéphane Roche, ingénieur en géomatique et professeur-chercheur au Département des sciences géomatiques de l'Université Laval.

En quoi consiste votre travail?

« J'enseigne à des étudiants aux baccalauréats en génie géomatique et en sciences géomatiques la cartographie sur l'internet et les bases de données géographiques qui permettent de gérer efficacement le territoire et de prendre des décisions. C'est utile à toute organisation qui doit comprendre comment ses ressources, ses clients, ses activités s'organisent sur un territoire. Par exemple, il peut s'agir d'une municipalité, notamment dans le cadre de projets liés au concept de ville intelligente, ou d'entreprises privées. Je me spécialise dans l'analyse des besoins des organisations pour arriver à créer des systèmes efficaces. Je réalise des projets sur le terrain, je publie des articles scientifiques, j'encadre des étudiants aux cycles supérieurs.

crédit photo: Pascal Ratthé, Le Soleil
entrevue de Martine Letarte

Lire l'entrevue complète parue dans La Presse

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Semaine du transport actif à la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique

15 septembre 2015

Le 22, 23 et 24 septembre, le Comité développement durable de la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique invite tous ceux et celles qui viendront au pavillon Abitibi-Price avec un transport actif (marche ou vélo) ou collectif (bus ou covoiturage) à venir déguster une collation matinale, de 7 h 30 à 9 h 30, au kiosque prévu à cet effet à la cafétéria du pavillon.

En vous rendant au pavillon Abitibi-Price en utilisant un transport actif ou collectif, vous pourrez participer au tirage au sort des prix offerts dans une boutique de vélo (Vélos Roy-O, Hype Ski Vélo).

Les transports actifs et collectifs sont bénéfiques pour votre santé, votre portefeuille et pour l’environnement!

On vous attend en grand nombre! Dépêchez-vous : premiers arrivés, premiers servis!

** Pensez à apporter votre tasse ! **​

Page Facebook de l'événement des transports actifs et collectifs de la FFGG

Le comité DD de la FFGG

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La nouvelle borne libre-service de réparation de vélo

15 septembre 2015

Le Comité de développement durable de la Faculté de foresterie, de géomatique et de géographie a fait l’acquisition de la toute première borne libre-service de réparation de vélo sur le campus. La borne est située à l’arrière du pavillon Abitibi-Price et est accessible en tout temps. Munie d’une pompe, elle est munie de la plupart des outils nécessaires aux ajustements de base sur un vélo.

Pour en savoir plus sur le développement durable à l'Université Laval.

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Balafrées par la tordeuse

10 septembre 2015

Des chercheurs démontrent comment la tordeuse des bourgeons de l'épinette provoque indirectement de spectaculaires glissements dans les montagnes du Québec. Les montagnes qui bordent la vallée de la rivière Jacques-Cartier portent d'étranges cicatrices, comme si un géant armé d'un gigantesque couteau s'était amusé à les taillader. Pourtant, l'un des responsables de ces balafres qui déchirent le couvert forestier pourrait être, au contraire, de taille bien modeste, suggèrent les travaux des professeurs Martin Simard et Patrick Lajeunesse, du Département de géographie et du Centre d'études nordiques. En effet, leur suspect, qui avait échappé aux soupçons jusqu'à présent, est la tordeuse des bourgeons de l'épinette.

Lire l'article complet paru dans le Fil, journal de la communauté universitaire

Crédit photo: Sébastien Baillargeon

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Photographier la forêt boréale

03 septembre 2015

Yvan Bédard partagera ses trucs pour prendre de belles photos de faune et de flore. Vous aimeriez apprendre des trucs pour prendre de belles photos de la faune et de la flore québécoises? Participez à l'atelier de photo animé par Yvan Bédard, professeur retraité du Département de sciences géomatiques et artiste photographe. 

L'activité comprend un atelier théorique sur la photo naturaliste, une sortie accompagnée en forêt (à pied et en 4X4) où vous pourrez prendre des photos de petits spécimens et de paysages sauvages ainsi qu'un visionnement commenté des photos prises au cours de la journée.

Dimanche 6 septembre, de 9h à 14h30, à la forêt Montmorency.
Pour inscription: yvan_bedard@hotmail.com ou 418 561-7046.
Vous pouvez visiter le site d'Yvan Bédard à yvanbedardphotonature.com.
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Un projet qui fait mouche

03 septembre 2015

La forêt Montmorency participe à un programme de réadaptation de soldats et d'anciens combattants blessés physiquement ou psychologiquement. Qui aurait cru que la pêche à la mouche servirait de thérapie pour des soldats blessés par la guerre? Hugues Sansregret, le directeur des opérations de la forêt Montmorency, a aimé l'idée lorsqu'on lui a présenté ce projet il y a cinq ans. «Des études démontrent que le contact avec la nature a un effet thérapeutique plus fort qu'un traitement par médicaments et une visite chez le psychologue combinés. C'est un service que nous n'avions jamais envisagé, mais qui fait partie de la dimension sociale de la mission de la forêt Montmorency.»

Un organisme à but non lucratif, Les eaux curatives par la pêche à la mouche, a pour but d'aider des militaires ou d'anciens militaires ayant participé à des missions à l'étranger. Dans un premier temps, on leur enseigne le montage de mouches, un art qui requiert patience et concentration. Les participants bénéficient ensuite d'ateliers où ils apprennent des stratégies de pêche et les différentes techniques du lancer. Le séjour à la forêt Montmorency, qui leur permet de mettre en pratique leurs nouvelles compétences, marque l'aboutissement du processus. L'objectif derrière cette activité: les aider à reprendre leur vie en main dans une ambiance relaxante.

Il est connu que la pêche est un calmant naturel, en plus d'être une excellente occasion de renouer avec les autres. «Ça nous oblige à sortir de notre sous-sol. Beaucoup de militaires souffrant de stress post-traumatique sont portés à s'isoler. Ils sont moins patients et plus irritables. En venant ici, on rencontre des gens qui sont "dans le même bateau". On n'a pas peur d'être jugé», explique Pascal Mayran, avant de fendre l'air avec sa canne à moucher.