Actualités
Damien Mathis remporte le 2e prix du jury à la finale internationale du concours «Ma thèse en 180 secondes»
29 septembre 2017
L’Université de Liège en Belgique accueillait le 28 septembre la finale internationale 2017 du concours francophone Ma thèse en 180 secondes (MT180), créé par l’Association francophone pour le savoir – ACFAS en 2012.
Le jury, composé de chercheurs, de journalistes et d’administrateurs, avait la difficile mission de désigner trois lauréats. Damien Mathis de l'Université Laval a remporté le 2e prix, pour la présentation de ses travaux de doctorat intitulé « Développement de nouveaux matériaux de haute inertie thermique à base de bois et matériaux à changement de phase biosourcés ».
Pour voir la présentation de Damien >>
Pour plus d'informations>>
Source :
Association francophone pour le savoir – ACFAS
Développement de parcs et d'espaces verts
28 septembre 2017
La faculté de foresterie, géographie et géomatique de l'Université Laval a entamé des travaux avec des groupes d'étudiants afin d'analyser le potentiel du secteur de la rivière Sault-à-la-Puce. Le but est d'y aménager plus de parcs et d'espaces verts, tel que demandé par les citoyens de la municipalité. Lisez l'article complet >>
Extrait de l'article paru sur le site L'autre Voix, le 23 septembre 2017
Photo TC Media – Prisca Benoit : Le maire Frédéric Dancause, entouré de partenaires des différents projets, a présenté les cinq lieux considérés comme prioritaires.
Compte-rendu de la 12e rencontre «Viens vivre la forêt Duchesnay»
27 septembre 2017
Dans le cadre de l’événement Viens vivre la forêt 2017, des élèves provenant de 11 écoles secondaires des régions de la Capitale-Nationale et de la Chaudière-Appalaches ont exploré les différents métiers de l’aménagement forestier et de la transformation du bois, hier, à l’École de foresterie de Duchesnay.
Une nouvelle formule; le même succès année après année
Lors de cette journée, parmi les 12 ateliers de l’événement, les jeunes ont notamment pu découvrir le métier d’ingénieur forestier, « chausser les bottes » d’un forestier (technologue et technicien), marteler des arbres, manoeuvrer de la machinerie telle qu’un porteur et une débusqueuse ou encore vivre quelques instants dans la peau d’un affûteur.
« Année après année, l’événement éveille toujours autant l’intérêt des jeunes. Ce sont plus de 6 750 élèves du secondaire en choix de carrière qui ont participé à Viens vivre la forêt au fil des ans et qui ont ainsi découvert les multiples métiers de la forêt et du bois et leurs possibilités d’emploi grâce à des professionnels passionnés et ravis de transmettre leurs connaissances. La nouvelle formule, qui permet aux groupes d’explorer les métiers de façon beaucoup plus ciblée selon des circuits établis par niveau de formation, soit professionnelle, collégiale et universitaire, a beaucoup plu aux élèves et à leurs enseignants. » a exprimé Marielle Rancourt, directrice générale adjointe de Formabois.
Des participants enthousiastes
« J’ai beaucoup aimé ma journée ici! Ce que j’ai préféré, c’est que j’ai appris plein de choses sur la forêt et les métiers forestiers et que j’ai pu essayer plein d’outils et de machines. Les animateurs sont vraiment sympathiques et ils aiment clairement ce qu’ils font! » s’est exclamé un élève de l’école secondaire Jean-de-Brébeuf.
« Je ne connaissais pas tous les métiers [de la forêt et du bois] et je ne savais pas qu’il y avait plusieurs cours au Cégep et à l’université [en foresterie]. Les ateliers étaient intéressants et c’était cool de pouvoir passer du temps dehors! » s’est exprimée une élève du Collège de Champigny.
Une réalisation d’équipe
Cette journée a été rendue possible grâce au Comité sectoriel de main-d’oeuvre en aménagement forestier (CSMOAF) et à Formabois, à la collaboration de l’École de de Duchesnay, de la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique de l’Université Laval, du Cégep de Sainte-Foy, de l’Association forestière des deux rives (AF2R) et de la Commission scolaire de la Capitale, ainsi qu’à la contribution financière de la Commission des partenaires du marché du travail (CPMT) et du ministère des Forêts, de la Faune et des Parcs (MFFP).
À propos de Viens vivre la forêt :
VVF est une occasion privilégiée d’entrer en contact d’une façon dynamique et interactive avec les métiers de l’aménagement forestier et de la transformation du bois sous forme d’ateliers pratiques propres à chacun des circuits d’enseignement proposés. Cette activité s’adresse aux élèves du 3e, 4e et 5e secondaire, ceux en cheminement particulier et de l’éducation aux adultes, de même qu’à tout intervenant ayant une influence sur le choix de carrière d’un élève.
Source et pour renseignements :
Marie-Pier Croteau, responsable communication et événements
Association forestière des deux rives (AF2R)
T : 418 522-0006 poste 3024
@ : communication@af2r.org
Pour plus d'informations: https://www.facebook.com/Associationforestieredesdeuxrives/
Texte tiré du communiqué de presse de Viens vivre la forêt.
Les structures en bois l'emportent face à l'acier et le béton!
25 septembre 2017
Écohabitation présente un comparatif des structures en bois, en acier et en béton. Le grand gagnant: le bois!
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Le génie du bois, 15 ans déjà!
21 septembre 2017
Le génie du bois célèbre ses 15 ans en 2017, un anniversaire qui mérite d'être souligné malgré son jeune âge. La recherche «Le génie qui touche du bois», réalisée par Jean-Paul Gilbert, retrace les moments clés qui ont caractérisé la mise en place de ce programme d'avant-garde à l'Université Laval.
Nouvelle tirée de l'AF2R
Entrevue avec Jean-Michel Beaudoin, professeur au département des sciences du bois et de la forêt
20 septembre 2017
Jean-Michel Beaudoin, titulaire de la Chaire de leadership en enseignement (cle) en foresterie autochtone, parle d'une nouvelle formation sur les valeurs autochtones pour tous les ingénieurs forestiers, offerte à l'Université Laval à partir de janvier 2019.
Les futurs ingénieurs forestiers du Québec seront formés pour mieux comprendre les réalités autochtones
19 septembre 2017
L’Université Laval a officialisé aujourd’hui au Musée amérindien de Mashteuiatsh la création de la Chaire de leadership en enseignement (CLE) en foresterie autochtone, une initiative majeure qui a pour but d’augmenter le bassin de spécialistes forestiers hautement qualifiés et sensibilisés aux réalités autochtones. Grâce à cette structure pédagogique innovante, tous les futurs ingénieurs forestiers du Québec seront formés pour mieux comprendre les réalités autochtones à compter de janvier 2019.
Pour les Premières Nations, la forêt est vitale. Elle représente à la fois une richesse culturelle qui prend racine dans leur histoire depuis des millénaires et une richesse économique puisque plus de 80 % d’entre elles vivent en territoire forestier. Ainsi, mieux soutenir le développement durable chez les Premières Nations tout en favorisant la continuité de leurs rapports avec les territoires forestiers est l’objectif des partenaires fondateurs de la CLE en foresterie autochtone.
En tant qu’unique université au Québec à offrir un programme de formation menant au titre d’ingénieur forestier, l’Université Laval joue un rôle de premier plan auprès des différents acteurs du milieu forestier, tels que les communautés autochtones et les industries forestières, qui comptent sur son expertise de pointe pour former des professionnels compétents et sensibles aussi à leurs préoccupations.
« Nous avons travaillé ensemble afin de mettre sur pied un projet structurant qui permettra de comprendre, par une démarche pratique, pédagogique et scientifique novatrice, les facteurs déterminants d’un développement sensible à la culture, aux intérêts et aux besoins particuliers de chaque communauté autochtone », a déclaré Eugénie Brouillet, vice-rectrice à la recherche, à la création et à l'innovation de l’Université Laval.
En dépit du potentiel de développement économique énorme pour le Québec des entreprises forestières autochtones, il existe peu d’information à jour sur leur fonctionnement, leur environnement et leur performance. « Il faut comprendre les entreprises afin de mieux les soutenir dans leur développement et leur croissance. Cette CLE viendra appuyer les efforts de développement des connaissances et des compétences dans le domaine de la foresterie autochtone tout en conduisant des travaux de recherche et pédagogiques novateurs », a indiqué le professeur en foresterie et titulaire de la CLE, Jean-Michel Beaudoin.
« Cette chaire met en lumière les liens traditionnels, des liens millénaires, qui unissent les nations autochtones à la forêt et vient consacrer le rôle important qu’elles doivent jouer dans l’exploitation et la mise en valeur de nos forêts. Soucieuse du respect des communautés et des forêts, la Chaire sera d’abord et avant tout un outil au service de la communauté, ici, à Mashteuiatsh. J’espère que de nombreux jeunes Autochtones y verront la possibilité d’effectuer des études dans un domaine proche de leur champ de référence culturel et dans lequel ils auront le goût de s’investir », a déclaré Geoffrey Kelley, ministre responsable des Affaires autochtones.
Cette nouvelle structure d’accueil pour des projets de formation et de recherche viendra également faciliter l’accès à un programme de stages en milieu pratique ainsi qu’à un réseau d’experts au sein de l’Université Laval et des autres universités du Québec et du Canada, ce qui aidera les communautés autochtones à participer et à prendre en charge le développement durable des forêts québécoises.
Enfin, la CLE se veut un pôle d’expertise novateur qui favorisera des relations durables entre les communautés autochtones, les entreprises forestières et les gouvernements. Elle permettra de faire le pont entre les modèles forestiers autochtones et les acteurs forestiers non autochtones et d’accroître la sensibilisation du grand public aux réalités autochtones.
Cette innovation majeure voit le jour grâce à collaboration des Premières Nations d’Essipit, de Pessamit, de Mashteuiatsh et de Wemotaci; du Conseil de l’industrie forestière du Québec (CIFQ); du ministère des Forêts, de la Faune et des Parcs; du Secrétariat aux affaires autochtones; de la Société du Plan Nord; de FPInnovations; de l’Association des produits forestiers du Canada; de Forchemex; de l’Association des entrepreneurs en travaux sylvicoles du Québec; de la Fédération québécoise des coopératives forestières; du gouvernement du Canada. Cet engagement représente un investissement direct d’une valeur de 590 000 $ sur une période de 5 ans.
Ce don vient s’ajouter à une contribution de la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique totalisant 250 000 $. Cet investissement contribuera à soutenir la Chaire pour les cinq prochaines années et à créer un poste de professeur à la Faculté.
À propos du programme des chaires de leadership en enseignement
Le programme de chaires de leadership en enseignement (CLE) de l’Université Laval a été inauguré au printemps 2011. Créée en partenariat avec le milieu socioéconomique, chaque CLE est un lieu d’innovation pédagogique où les avancées scientifiques et technologiques sont intégrées et adaptées aux besoins des personnes en formation. À ce jour, 40 CLE ont été créées dans le but de répondre à des enjeux précis de formation en sciences de l’administration, en sciences et génie, en théologie et sciences religieuses, en sciences sociales, en sciences de l’éducation et en sciences de l’agriculture et de l’alimentation.
Des enseignants nouvellement diplômés du Camp forêt!
18 septembre 2017
L’AF2R et ses partenaires, dont la FFGG, organisaient au mois d'août à la Station touristique Duchesnay, la neuvième édition du Camp forêt des profs à destination des intervenants du milieu scolaire. Les 27 nouveaux finissants ont adoré leur séjour «d'école en forêt» et sont prêts à transmettre leurs savoirs à leurs élèves!
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Nouvelle tirée de l'AF2R
Entrevue Radio Canada: L’impact géopolitique des changements climatiques dans l’Arctique pour le Canada
13 septembre 2017
Frédéric Lasserre, professeur titulaire au départment de géographie et directeur du Centre québécois d’études géopolitiques à l’Université Laval, parle des enjeux auxquels font face les pays regroupés au Conseil de l’Arctique.
Photo Credit (ours): Radio-Canada/Jimmy Thomson