Études supérieures
Les perspectives de carrière sont diversifiées pour les diplômés de nos maîtrises et doctorats. Que ce soit pour des entreprises en foresterie, en transformation du bois, en agroforesterie, des ministères, des centres de recherche ou des universités, les possibilités sont nombreuses.
Plusieurs de nos diplômés trouvent un emploi avant même la fin de leurs études grâce aux nombreux contacts qu’ils développent avec les partenaires dans le cadre de leurs travaux de recherche. Certains décident aussi de poursuivre leurs études à un niveau supérieur.
Un environnement de recherche notable permettant de riches opportunités d’emploi
La région de la Capitale-Nationale regroupe, en plus de l’Université Laval, un très grand nombre de centres de recherche en sciences forestières et en sciences du bois, ce qui crée d’excellentes opportunités d’emploi. Les diplômés accèdent aussi à des postes ailleurs au Québec, au Canada ou à l’international.
Exemples de centres de recherche près de l’Université Laval :
- Direction de la recherche forestière du ministère des Forêts, de la Faune et des Parcs
- Centre de foresterie des Laurentides – Service canadien des forêts
- Centre d'enseignement et de recherche en foresterie de Sainte-Foy inc. (CERFO)
- Centre de recherche sur les matériaux renouvelables
- FPInnovations
Nos diplômés travaillent également pour les firmes de génie-conseil, les ministères provinciaux et fédéraux, les entreprises, les organismes non-gouvernementaux, etc.
Taux de placement
Maîtrises
Le taux de placement moyen de la Relance de 2011 et de 2013 pour les diplômés de la maîtrise en sciences forestières et sciences du bois de l’Université Laval était de 92,3%, dont 76,9 % étaient en situation d'emploi et 15,4 % poursuivaient leurs études, que ce soit au doctorat ou dans un autre programme (chiffres tirés des données de la Relance universitaire du MESRS 2013).
Doctorats
Le taux de placement en 2012 pour les diplômés aux doctorats en sciences forestières et en sciences du bois pour l’ensemble du Québec était de 83,3%, dont 50 % étaient en situation d'emploi et 33,3 % ayant décidé de poursuivre comme stagiaire post-doctoraux (chiffres tirés des données de la Relance universitaire du MESRS 2012).