Trois étudiantes et un membre du personnel de la Faculté honorés au Gala national Chapeau les filles volet Excelle science
22 juin 2015
Marie-Christine Brochu, étudiante en sciences géomatiques, Véronique Patoine, étudiante en génie géomatique, Chloé Rosa-Teijeiro, étudiante en opérations forestières ainsi que Louis-Étienne Guimond, responsable des travaux pratiques au Département des sciences géomatiques ont été honorés dans le cadre du Gala national Chapeau les filles/Excelle science qui s’est tenu à l’Assemblée Nationale.
Le concours Excelle Science souligne la volonté et le travail des femmes inscrites au baccalauréat dans un programme de sciences et technologies menant à l'exercice d'un métier traditionnellement masculin.
Marie-Christine Brochu, étudiante au baccalauréat en sciences géomatiquesLauréate d'un prix Excelle Science de 2000$ du ministère de l’Économie, de l’Innovation et des Exportations, Marie-Christine a sillonné le fleuve Saint-Laurent, gravi les montagnes de la Gaspésie et conquerra bientôt les territoires rocheux de l’Abitibi. Fille de plein air et de grands espaces, elle trace son chemin d’arpenteuse-géomètre sans s’imposer de limites. « J’ai envie d’être une actrice de l’organisation du territoire et de toujours viser le mieux-être collectif », dit cette jeune femme polyvalente, mordue de maths et de physique. Son plan : s’attaquer à des travaux d’envergure – de l’implantation de complexes domiciliaires ou de parcs éoliens à l’auscultation de ponts ou de barrages hydroélectriques. |
Véronique Patoine, étudiante au baccalauréat en génie géomatiqueLauréate d'un prix Excelle Science de 5000$ du ministère de l’Économie, de l’Innovation et des Exportations, Véronique Patoine a exploré divers chemins avant de cliquer pour la géomatique. Un bac en physique d’abord, interrompu faute d’enthousiasme. Les plaisirs gastronomiques ensuite, avec un DEP en pâtisserie et l’acquisition d’un casse-croûte. Les exploits physiques aussi : du volleyball de compétition au triathlon en passant par la traversée du Canada à vélo. Mais seule la géomatique a réussi à combler son appétit de défis. « C’est une science méconnue, au service de l’humain dans une multitude de secteurs : environnement, épidémiologie, urbanisme... », dit Véronique, qui envisage de démarrer son entreprise. |
Chloé Rosa-Teijeiro, étudiante au baccalauréat coopératif en opérations forestièresLauréate d'un prix Excelle Science de 2000$ du ministère de l’Éducation, de l’Enseignement supérieur et de la Recherche, Chloé a toujours eu un intérêt marqué pour la gestion et les défis qu’elle apporte. Cette future ingénieure forestière n’est pas tombée loin de l’arbre : haute comme trois pommes, elle suivait en forêt son père, technologue forestier. D’abord inscrite en psychologie à l’université, Chloé constata qu'elle n’était pas dans la bonne voie. Elle passa en revue les baccalauréats et rapidement elle tomba sur celui en opérations forestières. Description détaillée du programme, liste des cours, possibilités de carrières, tout l’emballait. Les opérations forestières englobent plusieurs aspects dont la planification, l’organisation, la direction et le contrôle tant des ressources financières qu’humaines. Lutte aux feux de forêt? Recherche en opérations forestières? Elle ignore encore sa future branche. |
Louis-Étienne Guimond, responsable des travaux pratiques au Département des sciences géomatiquesLauréat du prix du Mentorat, Louis-Étienne a reçu cet honneur en raison de son aide apportée à Véronique Patoine, étudiante en génie géomatique dans la présentation de son dossier de candidature. |