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Un 60e sous le signe du renouveau à la Forêt Montmorency

24 septembre 2024

Le 16 septembre dernier, la Faculté de foresterie, géographie et géomatique a célébré avec enthousiasme le 60e anniversaire de la Forêt Montmorency lors d’une activité hommage et reconnaissance. En 1964, la gestion de cette vaste étendue forestière a été confiée à l’Université Laval et sa faculté de foresterie et six décennies plus tard, il était tout naturel de rendre hommage à celles et ceux qui ont façonné son histoire et d’en profiter pour leur partager nos rêves pour la Forêt Montmorency de demain.  

L’activité a débuté au pavillon principal, où plusieurs pionniers et pionnières de la foresterie, des membres de la Faculté, des amis et des partenaires se sont réunis par une superbe journée ensoleillée laissant place à la nostalgie comme au plaisir des retrouvailles. Carole Girard, directrice au développement philanthropique de la Faculté, a ouvert les festivités en souhaitant la bienvenue à tous les amoureux et toutes les amoureuses de la Forêt Montmorency. « Nous sommes réunis aujourd’hui pour trois raisons : célébrer le 60e anniversaire de la Forêt, pour vous exprimer notre profonde gratitude et pour partager nos rêves pour l’avenir. », mentionna-t-elle. 

Une capsule vidéo réalisée avec le professeur Éric Bauce permit de replonger les invités dans l’histoire de la Forêt Montmorency, mettant notamment en lumière le contexte de son agrandissement en 2015, qui a porté sa superficie de 65 km² à 412 km². 

La doyenne de la Faculté, Nancy Gélinas, a ensuite pris la parole pour saluer le rôle essentiel des pionniers et pionnières, de l’équipe actuelle et des partenaires dans le développement et le rayonnement de ce lieu unique. Elle ajouta : « Si tant d’efforts sont mis dans la croissance de cette forêt, c’est que nous croyons en son rôle majeur pour contribuer au bien-être de la société et pour former la relève de demain ».  Elle poursuivit « Aujourd’hui, nous sommes à la croisée des chemins, en regardant derrière, nous célébrons le chemin parcouru, et en regardant devant, nous souhaitons propulser la science et la sensibilisation du public ». 

Nancy Gélinas n’a pas omis de mentionner les défis récents de la Forêt, notamment l’arrêt des activités en 2020 et le besoin de réviser sa gouvernance pour mieux aligner sa mission sur l’enseignement et la recherche. La doyenne a également entretenu l’assistance de ses ambitions pour la Forêt d’enseignement et de recherche de l’Université Laval. Parmi celles-ci, elle a mentionné la possibilité de tester des solutions pour contrer les changements climatiques réplicables au Québec et ailleurs, la volonté d’enrichir l’expérience pratique et d’offrir une immersion en forêt pour nos personnes étudiantes, le besoin de sensibilisation du grand public à la culture forestière et l’objectif de devenir un pôle de convergence internationale en recherche. Pour avoir cet impact, madame Gélinas a affirmé que des installations renouvelées sont nécessaires pour atteindre ces objectifs. 

Jean-François Lamarre, directeur du Domaine forestier de l’Université Laval, a fait pour sa part un retour sur les 60 ans d’histoire avec une touche d’humour, tout en rendant hommage au passage à des figures marquantes de la Forêt. « C’est la somme de toutes vos actions qui ont contribué à leur manière à façonner le territoire, à donner une âme à ce territoire, à forger un héritage forestier et à faire battre le cœur de la Forêt. La Forêt Montmorency, c’est une histoire de passion, de cœur d’humains qui ont collaboré pour rendre un rêve possible : enseigner la foresterie et les métiers forestiers sur le terrain et approfondir les connaissances du milieu forestier, la sapinière boréale en ce qui concerne notre Forêt ».  

Il a également présenté des projets en cours, dont celui de la Tourbière Joncas. Une capsule vidéo sur ce projet porteur fut diffusée en présence de l’instigateur de la campagne de financement pour la tourbière, Pierre J. H. Richard, professeur émérite à l’Université de Montréal. Ce dernier a pris la parole pour partager le plaisir qu’il a eu à travailler avec l’équipe de la Faculté et de la Forêt Montmorency sur ce projet.  

Les participantes et participants ont ensuite eu la chance de faire une sortie terrain en autobus, guidés par Évelyne Thiffault, directrice scientifique de la Forêt, et Jean-François Lamarre. Un dernier arrêt près du lac Piché permit de faire l’inauguration de l’Espace Pontbriand, un lieu de recueillement aménagé en guise de reconnaissance pour un geste philanthropique posé par M. Jean-Noël Pontbriand et dédié à honorer la mémoire de son fils Jean-Sébastien. Ce moment fut rempli d’émotions et termina en beauté la visite de la Forêt. 

Pour clore cette journée riche en souvenirs, les participants et participantes ont pu visiter un lieu mythique du pavillon de la Forêt Montmorency – la salle du foyer, maintenant désignée comme la salle des Pionniers de la Foresterie pour reconnaître la mobilisation de philanthropes ingénieurs forestiers ayant soutenu la Forêt Montmorency.  Une plaque commémorative y a été apposée pour immortaliser leur geste de générosité. Cet événement n’a pas seulement permis de célébrer un anniversaire, mais également de renouveler l’engagement de la Faculté et de ses bâtisseurs envers l’avenir de ce site unique. Les participantes et participants sont repartis, la tête et le cœur remplis de souvenirs et d’enthousiasme, prêts à continuer d’écrire l’histoire de la Forêt Montmorency. 

Consultez l’album photos de la journée 

À lire aussi :  
La Forêt Montmorency, un pilier pour la recherche et l’enseignement au Québec, ULaval Nouvelle, 18 septembre 2024 

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La Forêt Montmorency, un pilier pour la relève en foresterie au Québec

19 septembre 2024

Ce laboratoire à ciel ouvert a marqué trois générations de la famille Bouliane et de nombreux ingénieurs forestiers en enseignement et en recherche

«C'est un peu ma forêt», lance Paul Bouliane, qui fut l'aménagiste de la Forêt Montmorency pendant 35 ans. Il se sent privilégié d'avoir contribué à l'histoire et à l'adaptation de la plus grande forêt de recherche et d'enseignement universitaire au monde. «Je devais être à la hauteur de la réputation de l'Université Laval, au sein d'une équipe dévouée à toujours faire mieux», raconte-t-il.

L'aménagiste était, entre autres, responsable de planifier les coupes forestières pour la mise en marché de quelque 10 000 m3 de bois annuellement. «Sur une forêt de 6500 hectares, ça prend une bonne connaissance du territoire pour bien couper. C'était un travail délicat. Je me sentais comme un artiste peintre.»

Paul Bouliane a particulièrement aimé sa collaboration avec les professeures et professeurs de la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique. Sa gestion de la Forêt a d'ailleurs inspiré l'un des professeurs dans la création d'un modèle de sylviculture encore utilisé aujourd'hui, la forêt mosaïque.

Durant sa carrière, Paul Bouliane a vu passer la relève en foresterie, dont sa fille, Julie Bouliane, qui a pris la relève comme aménagiste à la Forêt Montmorency durant 13 ans.

Elle n'a jamais regretté d'avoir suivi les traces de son père. «Comme ingénieure forestière, de pouvoir travailler en forêt, d'y passer la majorité de son temps, c'est exceptionnel, soutient-elle. J'ai pu vivre toutes les étapes du travail de foresterie, que ce soit de planifier et réaliser les coupes et le reboisement, et voir le résultat.»

Durant sa carrière, elle a entrepris de documenter les pratiques de son père et les nouvelles approches. «On partait de 35 ans de traditions orales, rapporte Julie Bouliane. C'est important de mettre tout ça par écrit pour que ça perdure. Il se fait de belles choses à la Forêt, il faut qu'elles soient partagées, qu'on laisse des traces.»

Les écrits de Julie Bouliane sont maintenant cités dans des travaux universitaires par des camarades de son fils, Cédrick Jalbert, qui étudie à son tour au baccalauréat pour devenir ingénieur forestier.

Son amour de la nature a commencé alors que sa mère l'amenait à la Forêt Montmorency avec elle lors des journées pédagogiques. «Quand j'étais jeune, je voulais un casque comme ma mère, avec mon nom et le titre d'ingénieur forestier», se remémore Cédrick Jalbert. Il avait fait lui-même son étiquette. «Ma mère m'avait prévenu que je ne pouvais pas encore utiliser le titre d'ingénieur forestier, alors j'avais réimprimé une étiquette avec juste mon nom, mais dans pas long, je vais pouvoir écrire mon titre», souligne-t-il avec fierté.

Un modèle pour l'enseignement au Québec

La Forêt Montmorency a motivé son choix de carrière et il y voit un modèle pour la relève. «C'est la première expérience forestière pour beaucoup d'ingénieurs forestiers, alors c'est important que la Forêt reste un pilier pour l'enseignement au Québec».

Une vision que partage la doyenne de la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique, Nancy Gélinas. «Nous sommes la seule faculté au Québec à enseigner le programme de génie forestier, nous devons nous doter des meilleures installations pour assurer une formation à la fine pointe des connaissances et de la technologie.»

Outre l'enseignement, la Forêt Montmorency recèle un potentiel énorme en recherche. «Nous devons être en mesure de répondre aux enjeux actuels et futurs», souligne Jean-Francois Lamarre, directeur du domaine forestier de l'Université Laval. Selon lui, l'arrivée récente de nouveaux membres du corps professoral à la Faculté permet de renouveler les thématiques de recherche grâce à leur expertise, notamment en restauration et en gouvernance. «Ils vont pouvoir apprivoiser la Forêt et suivre son évolution dans le temps. C'est l'une des forces de la Forêt, car beaucoup de choses peuvent se passer en 50 ou 60 ans», ajoute-t-il. L'intégration de nouvelles technologies comme les drones bonifient également la recherche.

Un autre avantage est la grandeur de territoire. «Nous voulons faire une expérience à très grande échelle pour étudier différents modèles d'aménagement. La famille Boulianne a testé le modèle de la forêt mosaïque, mais nous voulons voir si d'autres approches peuvent répondre aux enjeux actuels», rapporte Nancy Gélinas.

Pour élargir les horizons en recherche, la doyenne souligne l'importance d'investir dans des infrastructures plus vertes et plus technologiques. «Nous pourrions ouvrir nos portes d'autres facultés pour l'efficacité énergétique ou pour le potentiel des bâtiments en bois», soutient-elle.

La capacité de l'Université Laval de rénover et d'entretenir ses bâtiments a toutefois été réduite à la suite de l'annonce du ministère de l'Enseignement supérieur limitant le financement des infrastructures. «Si nous voulons des infrastructures à la hauteur de nos ambitions, nous allons trouver une façon de le faire. La coupure majeure du gouvernement ne nous arrête pas.»

Source : ULaval nouvelles

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Un nouvel ouvrage collectif sur la géopolitique de l'Arctique

13 septembre 2024

Cinq chercheurs de l'Université Laval ont contribué à cette publication traitant de la recherche sur l'Arctique et des tendances concernant cette région. 

L'Arctique est souvent perçu comme une région isolée du reste du monde, entre autres en raison des conditions difficiles, des populations clairsemées et des infrastructures limitées. Que ce soit le réchauffement climatique, les conflits internationaux ou la mondialisation, bon nombre de phénomènes affectent et façonnent l'Arctique.

C'est pour explorer les différentes facettes des interactions entre cette région et le reste du système international qu'une vingtaine de chercheurs marient leurs expertises dans L'Arctique et le système international: sécurité, gouvernance et économie, un ouvrage de 336 pages qui vient de paraitre aux Presses de l'Université du Québec.

Ce collectif, codirigé par quatre chercheurs, dont Frédéric Lasserre, professeur au Département de géographie, et Pauline Pic, stagiaire postdoctorale à l'École supérieure d'études internationales, s'adresse d'abord à la communauté universitaire dont les préoccupations de recherche touchent à cette région, mais également à tous ceux souhaitant faire un bilan des tendances qui concernent l'Arctique.

Outre Frédéric Lasserre et Pauline Pic, trois autres spécialistes du Nord à l'Université Laval signent des chapitres sur des sujets aussi variés que les enjeux de sécurité chez les peuples autochtones, l’intégration de l’Arctique au système mondial sous l'angle juridique, ou encore les changements climatiques. Il s'agit de Thierry Rodon, professeur au Département de science politique, Kristin Bartenstein, professeure à la Faculté de droit, et Reinhard Pienitz, professeur au Département de géographie.

L'Arctique et le système international: sécurité, gouvernance et économie est publié dans la collection Géographie contemporaine.

Pour commander ce livre

Un article d’ULaval nouvelles

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Alexis Achim et Maude Flamand-Hubert, cosignataires d’un article publié dans la revue Nature

10 septembre 2024

Résumé de l'article traduit de l’anglais

"Wildfires are spreading fast in Canada — we must strengthen forests for the future"
Alors que les incendies de forêt deviennent plus fréquents et plus violents, les efforts visant à améliorer la résilience des forêts doivent être basés sur des données et dirigés par les peuples autochtones.

À la fin de juillet, un incendie de forêt, alimenté par des vents violents, a ravagé le parc national Jasper au Canada, forçant l’évacuation de 25 000 personnes. Pendant un mois, plus de 350 pompiers ont combattu cet incendie qui a détruit 33 000 hectares, devenant ainsi le plus grand feu de forêt enregistré dans ce parc depuis un siècle. Ce phénomène fait écho à une tendance inquiétante au Canada : la fréquence et l'intensité des feux de forêt ne cessent d'augmenter, exacerbées par le changement climatique et des décennies de gestion forestière inadaptée. Toutefois, des initiatives émergent pour mieux gérer ces catastrophes, notamment les brûlages contrôlés et la valorisation des pratiques autochtones. Ces dernières sont de plus en plus reconnues pour leur efficacité à renforcer la résilience des écosystèmes. De plus, des technologies avancées, telles que les drones et les satellites, offrent des outils précieux pour surveiller et anticiper les feux, réduisant ainsi les risques pour les communautés et l’environnement.

Lie l’article complet 

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Utiliser l’IA et les capteurs de température pour lutter contre les îlots de chaleur

09 septembre 2024

Un récent rapport intitulé « Estimation de la distribution géographique des risques associés à la survenue de vagues de chaleur », a été déposé par le professeur Marc-André Bourgault du Département de géographie de l'Université Laval, en collaboration avec son équipe de recherche. Ce rapport, financé par la Ville de Québec, présente les résultats d'une étude réalisée entre juin 2022 et octobre 2023, et comporte 18 sections détaillant les activités menées dans le cadre de ce projet.

L'étude se concentre sur les différences de température observées entre les quartiers dits "chauds" et "froids" durant les périodes estivales de 2022 et 2023. Les résultats révèlent des écarts de température pouvant varier de 0 à 5 degrés Celsius lors des périodes les plus chaudes. Il a été démontré que les cours végétalisées dans les quartiers chauds offrent un potentiel de refroidissement notable, tandis que l'effet rafraîchissant des forêts urbaines se manifeste également, influençant les températures minimales au-delà de leurs limites géographiques immédiates.

De plus, les données collectées par les capteurs de température indiquent que les écarts entre les relevés locaux et ceux de la station météorologique de l’aéroport Jean-Lesage sont particulièrement marqués entre 19h et 24h. Cette observation souligne l'importance d'un suivi régulier et localisé des températures pour mieux comprendre les phénomènes d'îlots de chaleur.

Le rapport anticipe également une augmentation significative du nombre de jours de chaleur accablante d'ici 2090. Selon les projections, le nombre de jours très chauds pourrait passer de zéro actuellement à une dizaine (7 à 14 jours), voire jusqu'à 40 jours dans les scénarios les plus pessimistes.

En conclusion, cette étude souligne l'importance de l'utilisation d'un réseau de capteurs de température et de l’intelligence artificielle pour mieux spatialiser et comprendre l'aléa des îlots de chaleur urbains. Ces outils permettent une gestion plus précise de ce phénomène et constituent une plus-value indispensable pour les municipalités confrontées à l'augmentation des vagues de chaleur.

L'équipe de recherche ayant participé à cette étude est composée de Marc-André Bourgault, Benoit Lalonde, Jean-Philippe Gilbert, Yves Brousseau, Marie-Hélène Vandersmissen, Nathalie Barette, Karine Tessier, et Romane Hamon, ainsi que des étudiants de maîtrise Audrey-Rose Forcier et Hugo Chouinard, financés dans le cadre d'une entente entre l'Université Laval et la Ville de Québec.

Consulter le rapport complet 

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L’expédition AKOR 2024: mission accomplie!

09 septembre 2024

L'expédition AKOR 2024 s'est terminée le 7 septembre dernier à l'extrémité est de la Côte de Baffin. Catherine Chagnon, professionnelle de recherche au Département des sciences du bois et de la forêt, en compagnie de Nicolas Roulx, a participé à l'ensemble de l'expédition qui avait débuté le 21 avril dernier à la frontière entre le Yukon et l'Alaska. Cette traversée du Canada d'Ouest en Est s'est réalisée avec 1400 kilomètres de vélo, 2800 kilomètres en canot, 2600 kilomètres à la voile et environ une dizaine de jours de marche dans le parc national Auyuittuq. Guillaume Moreau, professeur-chercheur également au Département des sciences du bois et de la forêt a quant à lui participé à la section de 2800km de canot et est revenu par la suite pour pouvoir offrir à nos étudiantes et étudiants la formation pratique en sylviculture des feuillus. Le retour à Québec de Catherine est prévue pour le 12 septembre prochain. Nous avons hâte d'avoir de ses nouvelles pour pouvoir en apprendre plus sur cette impressionnante expédition et traversée du Canada!

Consultez quelques articles sur l'expédition et surveillez les prochains sur la conclusion de cette expédition!

Première conférence à venir suite à l'expédition au Festival NORR  - Vallée Bras-du-Nord- COMPLET

En savoir plus sur cette expédition: 

Site web: Traversée de l'Arctique - Expédition AKOR (expeditionakor.com)
Page Facebook

Crédit photo: Expédition AKOR

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Une étudiante de la FFGG à l'émission le Safari de Joanie

09 septembre 2024

Sophie Provencher, étudiante à la maîtrise en sciences forestières avec mémoire, a pris part cet été au tournage d'un épisode de la deuxième saison de l'émission « Le Safari de Joanie », mettant en lumière les projets de l’équipe dirigée par le professeur Marc Mazerolle sur la conservation de la rainette faux-grillon. Depuis 2019, l'équipe se consacre à l’étude de cette espèce, avec des projets portant notamment sur l’estimation des tailles de populations naturelles et réintroduites. Sophie est d’ailleurs la troisième étudiante à la maîtrise à s'impliquer dans ce programme de recherche. Depuis 2020, le Biodôme contribue à la reproduction assistée de la rainette faux-grillon, permettant ainsi à l'équipe d’élever des têtards sur des sites expérimentaux avant de les relâcher dans des étangs au sein de leur aire d’étude.

Pour en savoir plus sur le projet, écoutez l’émission qui sera diffusée le 20 septembre prochain sur Télé-Québec.
Visionner l’épisode

À propos de l’émission
Joanie part à l'aventure sur les routes, les sentiers et les cours d'eau du Québec pour y observer les animaux qui peuplent notre territoire dans leur habitat naturel. Chaque semaine, la grande expédition qui nous fait découvrir un animal du Québec est entrecoupée de segments ludiques, drôles et rafraîchissants qui nous permettent de découvrir des animaux du monde entier.

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Retour du Frigo Partage cet automne

06 septembre 2024

Le 18 septembre de 10h à 13h30, rendez-vous à la cafétéria du pavillon Abitibi-Price pour rencontrer les responsables du Frigo Partage, une initiative de l’association étudiante Univert Laval. Après avoir débuté à l’hiver 2024 en disposant un frigo dans la cafétéria du pavillon Abitibi-Price pour l’ensemble la communauté universitaire, l’association ajoute cet automne une nouvelle armoire qui contiendra d’autres types de produits alimentaires non périssables.

À propos

Le Frigo Partage est une initiative qui a pour but de réduire le gaspillage alimentaire et l’insécurité alimentaire au sein de la communauté universitaire en permettant à toutes et tous de déposer ou de prendre de la nourriture qui risquerait d’être jetée. Contrairement aux croyances populaires, les frigos communautaires ne sont pas uniquement réservés aux personnes vivant de l’insécurité alimentaire. Ils donnent le pouvoir aux citoyens de participer à un changement positif dans leur milieu de vie.

Devenez bénévole

Venez poser vos questions aux organisateurs et en apprendre plus sur le projet et sur les possibilités d’implication. Vous souhaitez vous engager davantage? Les membres du projet sont à la recherche de personnes qui souhaiteraient s’impliquer dans différentes tâches liées à cette initiative étudiante.