Actualités
Restaurer l'impossible
26 octobre 2021
Bien que la dernière mine d'exploitation d'amiante a fermé il y a bientôt 10 ans, on trouve toujours dans la région de Thetford Mines des haldes infertiles qui donnent au lieu son allure lunaire. Ces montagnes de résidus miniers menacent la rivière Bécancour et les lacs de la région. Des scientifiques et des entreprises tentent de trouver des solutions.
Ce reportage de l'émission La semaine verte s'intéresse entre autres aux recherches du professeur de géographie Reinhard Pienitz et de l'étudiant au doctorat Olivier Jacques sur les effets des haldes de résidus miniers sur le milieu aquatique.
Regardez l'épisode du samedi 23 octobre 2021 sur ICI Télé
Photo tirée du reportage
Concours de Chaire de recherche du Canada (CRC) ANNONCE GÉNÉRALE Faculté de foresterie, géographie et géomatique, Université Laval
18 octobre 2021
L’Université Laval a publié en novembre 2020 une mise à jour de son Plan d’action en matière d’équité, de diversité et d’inclusion en vue d’accroître la représentativité, aux postes de titulaires de CRC, des personnes issues des quatre groupes désignés, à savoir les femmes, les personnes en situation de handicap, les Autochtones, et les personnes appartenant à une minorité visible. Afin de respecter ces engagements, seules les personnes candidates possédant les compétences requises ET s’étant auto-identifiées comme membre d’au moins un de ces quatre groupes sous-représentés seront sélectionnées au terme du présent concours. L’Université Laval ne peut déposer d’autres types de profils de candidatures tant que ses cibles de représentation ne sont pas atteintes, et ce, conformément aux exigences du Programme des CRC.
Le concours de Chaire de recherche du Canada – Niveaux 1 et 2 pour les programmes CRSNG, CRSH et IRSC est présentement ouvert à l’Université Laval. Le programme des CRC vise à attirer et retenir au Canada des chercheurs parmi les plus accomplis et prometteurs. La description complète du concours est disponible sur ce lien.
Pour obtenir tous les détails pour poser votre candidature via la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique, consultez le pdf suivant:
La date limite est le 29 octobre 2021.
Contactez vice-decanat.recherche@ffgg.ulaval.ca pour de plus amples informations.
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In 2020, Université Laval published a revised version of its Equity, Diversity, and Inclusion (EDI) Action Plan with a view to increasing the representation of women, persons with disabilities, members of visible minorities as well as Indigenous peoples among Canada Research Chairholders at our institution. To meet these commitments, only candidates with the required skills AND who have self-identified as members of at least one of these four designated groups will be selected at the end of this competition. Université Laval cannot submit other types of application profiles until its representation targets are met, following the requirements of the CRC Program.
An internal competition of Canada Research Chair – Tiers 1 and 2 for the NSERC, SSHRC and CIHR programs is currently open at Université Laval. The CRC program aims to attract and retain in Canada accomplished and promising researchers. The full description of the CRC competition is available here.
For more details:
Canada Research Chair - Forestry, Geography, and Geomatics Faculty (pdf.) ENGLISH
The deadline is October 29, 2021.
Contact vice-decanat.recherche@ffgg.ulaval.ca for more information.
Découvrez le sous-marin autonome de Québec-Océan, l'un des trésors méconnus de l'Université Laval
15 octobre 2021
Dans cette vidéo diffusée par la Fondation UL, on découvre notamment les travaux de Patrick Lajeunesse, professeur-chercheur au Département de géographie de l'Université Laval et membre du CENTRE D'ÉTUDES NORDIQUES (CEN). La séquence concernant ce sous-marin autonome et les travaux de recherche qui en bénéficient débute à 1:16.
PHOTO tirée de la séquence vidéo.
Traverser le Canada dans l’axe Nord-Sud
15 octobre 2021
Entre mars et octobre, une petite équipe de mordus de plein air, dont un postdoctorant et un ex-candidat à la maîtrise en sciences géographiques de l'Université Laval, auront skié, pagayé et roulé en vélo sur une distance de 7600 kilomètres.
En plus de l’aspect dépassement de soi et de l’aspect découverte, l’expédition Akor comporte un volet scientifique.
«Nous participons à deux projets de recherche de l’Université Laval, explique le postdoctorant. Le premier est placé sous la direction du professeur Alexis Achim, du Département des sciences du bois et de la forêt. Il a consisté, après avoir atteint la forêt boréale, à prélever des échantillons sur une vingtaine d’arbres tous les 100 kilomètres. Ces régions connaissent le réchauffement climatique le plus important. Les carottes se rendaient jusqu’au cœur de l’arbre. Elles montreront tous les cernes de croissance. Ces cernes permettront d’étudier en laboratoire les effets du réchauffement climatique sur la croissance des arbres en milieu nordique.»
Lire l'article complet de Yvon Larose sur ULaval nouvelles
PHOTO : Expédition AKOR
IA, données géospatiales et changements climatiques : discussion avec Thierry Badard dans le balado Humaniteq
12 octobre 2021
Dans sa deuxième saison, l’équipe d’Humaniteq explore l’apport des technologies à travers le prisme des éléments tels qu’exprimés par Aristote. Pour l’épisode 5, consacré à la thématique «Astres», ou «l’ensemble de l’espace galactique», la balado en profite ainsi pour explorer les façons par lesquelles l’intelligence artificielle peut aider à analyser les images géospatiales pour lutter contre le changement climatique.
Thierry Badard, professeur-chercheur au Département des sciences géomatiques et directeur du Centre de recherche en données et intelligence géospatiales (CRDIG) de l’Université Laval figure parmi les invités de l'épisode, aux côtés de Stéphane Germain, président-directeur général de GHGSat, ainsi que l’artiste interdisciplinaire Asa Perlman.
Comprendre le passé et prédire l'avenir des plantes grâce aux racines et aux feuilles
04 octobre 2021
Une étude publiée dans Nature illustre comment ces structures répondent à des pressions sélectives qui leur sont propres. Les plantes utilisent différentes stratégies pour croître, survivre et se reproduire. Par exemple, quand vient l'automne, la plupart des arbres de nos forêts se départissent de leurs feuilles, alors que tous les résineux, à l'exception du mélèze, conservent leurs aiguilles. Les traits fonctionnels de ce type sont au cœur des travaux de chercheurs qui tentent de comprendre les mécanismes qui gouvernent l'évolution des plantes, leurs interactions et le fonctionnement des écosystèmes. Une équipe internationale de chercheurs dont fait partie la professeure Alison Munson, de l'Université Laval, vient de réaliser une percée importante dans ce domaine. Les détails de cette étude sont présentés dans un article qui illustre la une de l'édition du 30 septembre de la revue Nature.
Plantation symbolique à l’Université Laval marquant 100 ans de collaboration avec l’Ordre des ingénieurs forestiers du Québec
01 octobre 2021
L’Ordre des ingénieurs forestiers du Québec (OIFQ) et la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique de l’Université Laval sont heureux de souligner le long partenariat qui les unit dans le cadre des festivités du 100e anniversaire de la profession d’ingénieur forestier. En cette occasion, la plantation symbolique d’un résineux a été réalisée, hier après-midi lors de la Journée nationale de la vérité et de la réconciliation, derrière le pavillon Abitibi-Price du campus de l’Université Laval, là où la relève en génie forestier et en génie du bois est formée d’année en année.
Cette initiative s’inscrit dans l’objectif de l’OIFQ de faire connaître la profession d’ingénieur forestier au grand public québécois : « L’histoire de l’Ordre est intimement liée à celle de l’Université Laval et vice versa. Depuis 100 ans, une étroite collaboration s’est installée. De ces murs sont sorties des générations complètes d’ingénieurs forestiers qui se sont intéressés à toutes les facettes de notre profession. Le rayonnement de leurs réalisations rejaillit inévitablement sur nous tous et sur nos forêts. Cette plantation symbolise que nous continuerons à évoluer ensemble », a déclaré le président de l’Ordre, François Laliberté.
Le 8 septembre 1910, la première cohorte d’étudiants faisait son entrée à l’École forestière de l’Université Laval. Près de dix ans plus tard, le 19 mars 1921, l’Association des ingénieurs forestiers du Québec a été légalement constituée. En plus de 100 ans, les diplômés en génie forestier ont activement contribué au développement de la société en occupant des emplois diversifiés au Québec et à l’étranger. Un siècle plus tard, l’Université Laval compte plus de 3500 diplômées et diplômés des programmes de baccalauréat pouvant mener à l’Ordre des ingénieurs forestiers du Québec.
Pour la doyenne de la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique, Nancy Gélinas, une plantation d’arbre est le symbole d’un investissement dans l’avenir, pour les prochaines générations. « Planter un arbre pour souligner le 100e anniversaire de l’OIFQ, c’est à la fois reconnaître la collaboration passée entre nos deux institutions et miser sur un futur au cours duquel nous continuerons de travailler ensemble à valoriser la profession d’ingénieur forestier. Une profession au service de la société d’aujourd’hui et de demain, qui met à profit des connaissances et des compétences multiples afin d’aménager durablement les territoires forestiers. »
De son côté, le président de l’Association des étudiantes et des étudiants en foresterie de l’Université Laval, Moïse Samson, mentionne qu’il a participé avec plaisir à cette plantation symbolique. « En tant qu’étudiantes et étudiants, nous avons la chance de recevoir une formation de qualité sur les enjeux actuels de la forêt et sur les formes les plus avancées que le génie forestier peut prendre. Comme futures ingénieures forestières et futurs ingénieurs forestiers, nous sommes prêts à faire face aux défis de demain avec motivation et dynamisme. C’est donc un honneur de représenter la relève qui composera l’OIFQ durant les prochaines décennies. »
L’enseignement, la recherche et les carrières en foresterie sont résolument tournés vers l’avenir. Environnement, aménagement durable des forêts, changements climatiques, construction verte en bois sont autant d’éléments touchés par la foresterie d’aujourd’hui. Cette plantation symbolique souligne l’importance de la profession d’ingénieur forestier et de la relève qui poursuivra cette histoire en contribuant à l’aménagement durable des forêts.
Pour en savoir plus sur les autres célébrations du centenaire, visitez le site www.jai100ans.com .
De gauche à droite sur la photo:
- Monica Gagnier, étudiante en aménagement et environnement forestiers et président de la Semaine des sciences forestières
- Moïse Samson, étudiant en aménagement et environnement forestiers et président de l'Association des étudiants de 1er cycle en environnement, foresterie et génie du bois de l'Université Laval (AEFEUL)
- François Laliberté, ing.f., président de l'Ordre des ingénieurs forestiers du Québec
- Nancy Gélinas, doyenne de la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique
- Alexandre Morin-Bernard, ing.f., président de l'Association des étudiants gradués en foresterie de l'Université Laval (AFOR)
- François-Hugues Bernier, ing.f., directeur général et secrétaire de l'Ordre des ingénieurs forestiers du Québec
- Marie-Noël Gagnon, ing., directrice exécutive de la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique
À propos de l’Ordre des ingénieurs forestiers du Québec
L’Ordre des ingénieurs forestiers du Québec est un ordre professionnel constitué légalement en 1921. Il encadre près de 2 000 ingénieures forestières et ingénieurs forestiers et a pour fonction principale d’assurer la protection du public en matière d’expertise professionnelle dans le secteur forestier.
À propos de la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique de l’Université Laval
La Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique de l’Université Laval est chef de file dans les domaines de la conservation de l’environnement, de la mise en valeur responsable et innovante des ressources renouvelables, de l’aménagement durable du territoire et de l’intelligence spatiale. Ses programmes de formation, dont plusieurs sont uniques au Québec, sont à la fine pointe des connaissances scientifiques, de la technologie et des pratiques professionnelles.
Sources : Marie-Claude Dussault |
Simon La Terreur
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Renseignements : François-Hugues Bernier | Véronique Audet |