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Des millions pour la génomique forestière
09 décembre 2016
Trois projets en génomique forestière codirigés par des chercheurs de l’Université Laval viennent d’obtenir du financement de Génome Canada, de Génome Québec et de leurs partenaires. Ces projets font partie des 13 grands projets en génomique de l’environnement et des ressources naturelles, totalisant des investissements de 110 M$ en espèces et en services, qui ont été annoncés par le gouvernement du Canada et le gouvernement du Québec le 8 décembre à Montréal.
L’équipe dirigée par Jean Bousquet, du Département des sciences du bois et de la forêt, et Joerg Bohlmann, de l’Université de la Colombie-Britannique (UBC), disposera d’un budget de 10,5 M$ pour mener le projet Spruce-up. Les travaux antérieurs de ces chercheurs ont permis de consolider les programmes d’amélioration génétique des épinettes blanches destinées au reboisement au Canada. «Nous allons poursuivre nos recherches afin de développer des lignées d’épinettes mieux adaptées aux nouvelles conditions environnementales créées par les changements climatiques, explique Jean Bousquet. Nous allons surtout travailler sur la résilience des arbres, leur capacité à résister aux maladies, aux insectes et à la sécheresse, de même que sur leur productivité et leur capacité de fixer le CO2.» Rappelons que plus de 400 millions de semis d’épinettes sont plantés chaque année dans les forêts canadiennes, ce qui en fait la principale essence visée par les opérations de reboisement au pays.
Par ailleurs, le projet BioSAFE, qui a reçu un appui de 8,7 M$, sera codirigé par Ilga Porth, du Département des sciences du bois et de la forêt, Cameron Duff, de l’Agence canadienne d’inspection des aliments, et Richard Hamelin. Ce dernier est chercheur à Ressources naturelles Canada, mais il est aussi professeur invité au Département des sciences du bois et de la forêt de l’Université Laval et professeur à UBC. Les travaux de cette équipe porteront sur les espèces exotiques envahissantes qui peuvent causer de graves dommages aux arbres des forêts et des milieux urbains du Canada. «Les outils génomiques que nous allons développer pourront être utilisés, entre autres, dans les ports parce que ces espèces se retrouvent souvent à bord de bateaux, notamment dans le bois des caisses de marchandises, souligne Ilga Porth. Ils pourront aussi servir dans les pépinières pour repérer les jeunes arbres infectés par les champignons pathogènes.» Les chercheurs concentreront leurs efforts sur quatre espèces particulièrement problématiques au Canada: le longicorne asiatique, la spongieuse asiatique, le champignon causant la maladie hollandaise de l’orme et le champignon responsable de l’encre des chênes.
Lisez la nouvelle sur Le Fil
Texte de Jean Hamann, Le Fil, Volume 52, numéro 13 | 8 décembre 2016
Photo de Michel Rioux
Pourquoi ont-ils choisi l’Université Laval?
24 novembre 2016
On parle de nous dans le journal de la communauté universitaire! On y présente une vidéo de nos étudiants qui témoignent de leurs études aux cycles supérieurs. Laboratoires à la fine pointe de la technologie, activités de recherche stimulantes et dynamisme de la ville de Québec comptent parmi les avantages énumérés par quelques étudiants aux cycles supérieurs de la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique lorsqu’on leur a demandé leur point de vue sur leurs études et leur vie à Québec.
Originaires du Bénin, du Vietnam, de la France, de la Polynésie française et du Québec, ces étudiants de domaines différents, allant des sciences du bois aux sciences géographiques, vous présentent, dans une courte vidéo, leurs sources de motivation et leurs coups de coeur.
Trois étudiantes de la Faculté obtiennent la Bourse de leadership et développement durable
18 novembre 2016
Trois étudiantes de la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique se sont méritées une bourse de leadership et développement durable de l'Université Laval 2016-2017. Grâce à ce programme de bourses, l'Université Laval désire soutenir pendant leurs études universitaires les étudiants talentueux démontrant des réalisations exceptionnelles dans l'un des six secteurs d’activité suivants: artistique, entrepreneurial, environnemental, scientifique, social/humanitaire ou sportif. Ce programme de bourses s'adresse aux étudiants qui dépose une nouvelle demande d'admission dans un programme régulier (baccalauréat, maîtrise ou doctorat) de l'Université Laval.
José Elvire Djiongo Boukend, étudiante au doctorat en sciences forestières
Deux fois lauréate de la bourse de l’Excellence Féminine du ministère de l’Enseignement supérieur du Cameroun, son pays natal, Jose Elvire Djiongo Boukeng s’investit dans sa communauté et sensibilise les gens à la protection de l’environnement. Elle a créé l’Association des élèves agronomes de la Menoua en plus d’être la première femme à enseigner à l’École de Faune de Garoua. En 2014, Jose Elvire a prouvé ses qualités de leader et d’ingéniosité en mettant sur pied l’Association Camerounaise des Femmes Ingénieurs en Agriculture. Cette association a pour but d’aider les femmes des milieux ruraux en créant des activités génératrices de revenus. Après son doctorat en sciences forestières, elle souhaite relever un nouveau un défi : renforcer le rôle des femmes en environnement. Inspirante et reconnue par ses pairs pour son leadership, Jose Elvire est une scientifique engagée, tout en étant mère de trois jeunes enfants.
Alice Semnoun, étudiante au baccalauréat intégré en environnements naturels et aménagés
Alice Semnoun est une organisatrice hors pair faisant preuve d’une attitude toujours positive. Son plus grand succès à ce jour, est l’organisation, en 2015, de la Conference of Youth à Montréal, dans laquelle elle a joué deux rôles majeurs : la gestion de l’équipe de mobilisation répartie dans toute la province et l’organisation de la simulation étudiante de la Conférence de Paris sur le climat. Ces expériences lui ont valu une place de vice-présidente au Réseau Étudiant pour la Justice Environnementale au Québec. Mettant à profit ses cinq années d’études juridiques, dont une maîtrise en droit de l’environnement, elle est convaincue qu’elle peut réaliser de grands projets en développement durable. Réfléchie, passionnée et volontaire, Alice conjugue ses deux passions : le droit et l’environnement.
Noémie Jeffrey, étudiante au baccalauréat en génie géomatique
Dévouée et persévérante, Noémie Jeffrey est une passionnée d’athlétisme. Depuis 2012, elle participe à de nombreuses compétitions provinciales et nationales où elle se démarque. Elle a gagné plus d’une dizaine de médailles et s’est classée à deux reprises comme athlèterelève de son programme d’excellence d’athlétisme. Pour réaliser son rêve de gagner les Championnats canadiens extérieurs, elle s’entraîne intensivement avec le Club d’athlétisme du Rouge et Or de l’Université Laval. En plus d’améliorer ses performances, elle démontre sans cesse son leadership auprès des débutants. Elle adore les guider dans leurs techniques et les encourager. Son esprit d’équipe, son entregent, sa rigueur à l’entraînement ainsi que sa capacité à bien concilier sport et études font d’elle un exemple pour ses coéquipiers.
Répartition du montant des bourses
- 1er cycle: 2 000$ par an (maximum de 3 ou 4 ans, selon la durée du baccalauréat).
- 2e cycle: 5 000$ par an (maximum de 2 ans).
- 3e cycle: 10 000$ par an (maximum de 3 ans).
Apprenez-en plus sur les Bourses de leadership et développement durable de l'Université Laval.
Crédit photo: Marc Robitaille
Marianne Mathis, porte-parole de la Grande campagne UL.
17 novembre 2016
Qu’ont en commun la maison d’affinage des produits Migneron de Charlevoix et cette jeune entreprise trifluvienne d’aménagement du territoire? La Fierté UL. Peu importe leur lieu de vie ou leur industrie, nos diplômés redonnent à leur alma mater pour que les prochaines générations bénéficient également d’une formation d’excellence.
Marianne Mathis est diplômée de la Maîtrise en sciences géographiques de l’Université Laval. Elle agit comme porte-parole de la Grande campagne de financement de la Fondation de l’Université Laval. Avec un associé géographe, elle a lancé la compagnie Géo’Graph Inc. qui œuvre dans le domaine du développement régional et qui offre des services en aménagement du territoire et en cartographie. Elle souhaite promouvoir l’approche propre à la discipline géographique, soit une approche d’ensemble, qui tient compte tant de l’humain que du milieu physique dans la prise de décision, pour favoriser un aménagement du territoire durable. « La géographie me permet de travailler avec les gens, ce qui constitue mon leitmotiv, et de trouver l’approche adéquate aux problèmes de développement en faisant preuve de créativité, tout en se basant sur une approche d’aménagement. J’envisage l’entreprise privée comme une grande aventure, avec beaucoup de défis, mais surtout, comme une opportunité inouïe de mettre en application des années d’apprentissages au service des collectivités rurales » mentionne-t-elle.
Elle participe à la Grande campagne en encourageant les diplômés de laisser en retour une empreinte durable en faisant un don à la Fondation de l’Université Laval.
Deux diplômés de la Faculté au palmarès des 10 personnalités de la relève forestière
15 novembre 2016
Le Québec est une pépinière de jeunes talents qui repoussent constamment les limites de la connaissance et améliorent les pratiques de l’industrie forestière. Le magazine Opérations forestières et de scierie et le Conseil de l’industrie forestière du Québec (CIFQ) ont souligné les réalisations de 10 étoiles de la relève forestière au Québec. Deux de ces étoiles sont des diplômés de la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique au baccalauréat en aménagement et environnement forestiers et au baccalauréat en génie du bois. Découvrons leur parcours!
Virginie Galvez-Cloutier, diplômée en aménagement et environnement forestiers, ingénieure forestière chez Cédrico
Ayant grandi en ville, Virginie Galvez-Cloutier n’avait jamais pensé faire carrière en foresterie jusqu’à ce qu’une conseillère d'orientation lui parle du métier. «J’ai tout de suite vu l’intérêt pour travailler dans la nature et pour la protection de l’environnement », dit-elle d’emblée. Dès lors, elle prend la décision d’aller étudier en aménagement et environnement forestiers à l’Université Laval, ou elle devient officiellement ingénieure forestière en mai 2015. Grâce à des stages formateurs qu’elle a suivi à l’université, elle était bien préparée pour la réalité de l’emploi et en moins d’un mois, elle déniche l’emploi quelle convoitait pour Bois d’œuvre Cédrico, une entreprise basée en Gaspésie et au Bas-Saint-Laurent. « J’adore la variété du travail à faire, que ce soit dans les bureaux, en forêt, en équipe ou en solo. On est appelé à aller vers nos intérêts », souligne Virginie. À son arrivée chez Cedrico, Virginie s’est vue confier la mise à jour de la documentation de nos directives, instructions et formulaires, ainsi que la formation de l’ensemble de nos employés et de nos entrepreneurs et leurs employés. Un exercice un peu intimidant pour une finissante, mais un défi qu’elle a relevé avec brio, note Jean-François Desbiens, le directeur de la foresterie pour Cedrico. Depuis un an, Viriginie apprend rapidement. En plus de travailler sur la certification FSC du système de gestion environnementale et du territoire de Cedrico, elle s’implique dans différents comités en lien avec la foresterie, tels que les tables de gestion intégrée des ressources pour le Bas-Saint-Laurent et la Gaspésie, ainsi que le comité technique mis en place par la corporation de la gestion de la certification du Bas-Saint-Laurent. Passionnée de la forêt et de la préservation de la ressource, Virginie est persuadée que l’avenir est favorable pour le matériau bois. « Plus on regarde les qualités écologiques du bois et plus on se rend compte que c’est la meilleure option sur le marché. Sans compter que les pratiques de récolte se sont améliorées énormément », conclut-elle.
Sylvain Goulet, diplômé en génie du bois, Directeur d’usine – Produits forestiers Résolu
Issu d’une famille forestière de Péribonka, dans le nord du Lac-Saint-Jean, Sylvain Goulet n’a jamais douté de son parcours. « Je baigne dans le bois depuis que je suis petit. Je n’ai jamais eu à prendre de décisions. C’est ça que je devais faire », dit-il. C’est pourquoi il a décidé d’étudier à l’Université Laval en Génie du bois, un programme complet qui lui a permis de toucher à plusieurs domaines pour faire face aux défis de l’industrie. Une formation qu’il a tellement appréciée qu’il a décidé de devenir un ambassadeur du programme, en donnant des conférences dans les écoles primaires et secondaires. « Il faut changer les perceptions des jeunes en leur démontrant les qualités écologiques du matériau bois », soutient Sylvain. Dès sa sortie de l’université, il décroche un poste à la scierie Arbec à Péribonka, là où son père et son grand-père ont travaillé avant lui. D’abord responsable de l’optimisation et de la qualité, il devient directeur de l’usine alors qu’il n’est âgé que de 29 ans. Il est ensuite recruté par Produits forestiers Résolu pour devenir le directeur de l’usine de La Doré, un des plus gros plans de transformation du Saguenay-Lac-Saint-Jean. «Mon plan de carrière est allé au moins 10 ans plus vite que je ne le pensais », soutient l’homme de 37 ans qui supervise 275 employés répartis dans trois usines (sciage, rabotage et aboutage). De plus, Sylvain n’hésite pas à s’impliquer au sein de différents conseils d’administration (Chambre de commerce, Maison de la forêt) ou encore à défendre les intérêts de l’industrie en vulgarisant avec tact les nouvelles pratiques forestières, notamment dans des vidéos publiées sur YouTube. « C’est gratifiant de pouvoir travailler un matériau noble et renouvelable », conclut le passionné.
Alain Olivier, professeur en agroforesterie, lauréat du Prix d'excellence en enseignement 2016
14 novembre 2016
Dans le cadre des Prix d'excellence en enseignement 2016, le prix Internationalisation de la formation a été remis à Alain Olivier, professeur impliqué dans la maîtrise en agroforesterie offerte conjointement avec la Faculté des sciences de l’agriculture et de l’alimentation. Monsieur Olivier enseigne en agroforesterie à l’Université Laval depuis 1995. Que ce soit dans ses cours, en recherche ou dans ses implications auprès de la communauté, l’internationalisation de la formation est au cœur de ses préoccupations, et ce, depuis son entrée en fonction.
Convaincu de l’apport du volet international dans la formation des étudiants, monsieur Olivier intègre du contenu international aux activités pédagogiques. Il a notamment révisé en profondeur le cours Agroforesterie, dorénavant consacré à l’étude des zones tropicales et subtropicales afin de conscientiser les étudiants à la réalité des paysans des pays en développement. Il est également responsable d’un stage en agroforesterie qui se déroule généralement à l’international. De plus, il a créé le cours Visites agroforestières, dont la première édition a eu lieu à Cuba en 2015.
Souhaitant transmettre sa passion, il encadre, dans un contexte international, de nombreux étudiants aux cycles supérieurs, en plus de diriger plusieurs projets de recherche à travers le monde. C’est ainsi qu’il offre des opportunités de mobilité étudiante entre autres au Maroc, au Mexique, au Pérou, au Mali, au Costa Rica, en France et au Gabon.
En 2011, monsieur Olivier est devenu titulaire de la Chaire en développement international de l’Université Laval. Le dynamisme avec lequel il l’anime se traduit entre autres par l’organisation de conférences et de tables rondes, par la mise sur pied d’un colloque étudiant en développement international, par l’organisation de deux écoles d’été et par la mise en place d’un programme de bourses et de recherche à l’international.Apprécié à la fois par ses étudiants, ses collègues et les partenaires internationaux et reconnu pour son expertise, monsieur Olivier fait rayonner l’Université Laval ici comme ailleurs. Son impressionnant parcours de réalisations fait de lui un modèle à suivre en internationalisation de la formation.
La plus grande forêt d'enseignement au monde
04 novembre 2016
Seul établissement à former les ingénieurs forestiers au Québec, l'Université Laval mise sur un atout de taille : la plus grande forêt d'enseignement et de recherche au monde. Située près de l'autoroute Laurentienne, entre Québec et Chicoutimi, la forêt Montmorency est passée de 66 km2 à 412 km2 au printemps 2014. « Depuis avril 2013, la nouvelle loi forestière prévoit de nouveaux modes de gestion, souligne Hugues Sansregret, directeur des opérations à la forêt Montmorency. Mais malgré les 16 forêts d'enseignement au Québec, on n'avait pas de dispositif pour tester et enseigner ces modèles. On avait besoin de plus d'espace. »
L'endroit crée des images claires dans la tête des étudiants au baccalauréat, à la maîtrise et au doctorat. « Quand on parle d'harmonisation des usages en prévoyant des coupes forestières, on peut illustrer comment exploiter les ressources naturelles en respectant l'écosystème, dit M. Sansregret. On comprend aussi qu'on ne peut pas gérer une forêt publique sans se soucier des chasseurs, des pêcheurs, des villégiateurs et des membres des Premières Nations. »
Les étudiants passent souvent des demi-journées en forêt pour récolter des données qu'ils traiteront le lendemain en classe. Ils doivent aussi y faire des stages pratiques. « On leur donne un morceau de forêt de quelques kilomètres carrés et ils doivent faire un travail de génie en planification».
[...] Au-delà des études et des cours offerts dans la nature, la forêt Montmorency génère une multitude de cas pour les étudiants en génie forestier. À l'Université Laval, trois spécialisations sont offertes au bac. La première : l'aménagement et l'environnement forestiers. « Les étudiants apprennent à poser un diagnostic et à prescrire des interventions pour que la forêt donne les produits attendus (bois de sciage, pâtes et papier, etc.) à moyen et long termes », explique Nancy Gélinas, vice-doyenne aux études. De leur côté, les bacheliers en opérations forestières sont impliqués dans les travaux sylvicoles commerciaux, de la construction de routes à la gestion de machinerie en forêt, afin de réduire les impacts environnementaux. Ceux qui s'orienteront en génie du bois travailleront en usine afin d'optimiser les procédés.
Ces trois formations mènent au titre d'ingénieur forestier, mais elles sont encore confondues avec la profession de bûcheron et les autres formations du domaine forestier.
Lisez la suite de l'article de Samuel Larochelle sur La Presse du 3 novembre 2016.
Concours « À travers votre lentille : expérience étudiante à l’international! »
21 octobre 2016
Vous êtes un étudiant étranger à l’Université Laval? Vous avez envie de partager des moments mémorables de votre parcours d’intégration au Québec ou de mettre en lumière vos talents de photographe et de vidéaste?
Alors participez au concours annuel de photos et de vidéos À travers votre lentille : expérience étudiante à l’international! Plus de 600$ en prix à gagner!
Vous avez jusqu’au 6 novembre pour nous soumettre vos photos et vidéos.
Les œuvres sélectionnées seront exposées les 22 et 23 novembre 2016 à l’Atrium du pavillon Charles-De Koninck et les 24 et 25 novembre 2016 à l’atrium Jean-Guy-Paquet du pavillon Alphonse-Desjardins, dans le cadre de la Semaine de l’éducation internationale.
Pour participer, inscrivez-vous sur le portail Contact Cosmopolite
https://www.contactcosmopolite.ulaval.ca/
Dans la section « Espace étudiant » accessible avec votre IDUL et votre NIP, cliquez sur « Concours photo et vidéo » puis « Étudiants internationaux ».
Pour toute question, contactez Valérie Marier par téléphone au 418 656-2131 poste 16741 ou par courriel à l’adresse valerie.marier@bve.ulaval.ca.
Appel de conférence pour R à Québec 2017
05 octobre 2016
R à Québec 2017 est un colloque interdisciplinaire rassemblant chercheurs, étudiants, praticiens et professionnels des milieux académiques, gouvernementaux et industriels. À l’instar des conférences useR, ce premier colloque d’envergure au Québec dédié spécifiquement à l’utilisation de R favorisera le transfert d’expertise entre les disciplines, l’avancement des pratiques et, pour certains, le passage vers l’environnement R. La première journée sera consacrée à des ateliers de formation introductifs et avancés et la deuxième à des conférences. Le colloque aura lieu les 25 et 26 mai 2017.
Le comité scientifique du Colloque recueille présentement des propositions de conférences touchant, entre autres, aux thèmes suivants :
- statistiques descriptives
- analyse et traitement de données
- visualisation et graphiques
- modélisation, optimisation et simulation
- calcul haute performance
- forage de données
- applications en recherche, en enseignement ou dans les secteurs public ou privé
Dans une perspective d’interdisciplinarité, l’accent de la conférence doit porter sur l’utilisation de R. Les présentations se dérouleront en français et elles seront d’une durée de 20 minutes. Il est possible que les auteurs de propositions de conférences non retenues soient invités à présenter sous forme d’affiche. Les conférenciers devront s’inscrire et payer leurs frais d’inscription.
La date limite pour soumettre une présentation est le 15 janvier 2017.
Comité scientifique :
- Alexandre Bureau – Département de médecine sociale et préventive, Université Laval
- Anne-Sophie Charest – Département de mathématiques et statistique, Université Laval
- Arnaud Droit – Département de médecine moléculaire, Université Laval
- Vincent Goulet – École d’actuariat, Université Laval
- Charles Fleury – Département de sociologie, Université Laval
Pour toute information sur l’appel de conférence, contactez Vincent Goulet (Vincent.Goulet@act.ulaval.ca). Pour toute autre information sur R à Québec 2017, contactez Natacha Fontaine (raquebec@ulaval.ca) ou visitez notre site web : http://raquebec.ulaval.ca.
Campagne Centraide à la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique
23 septembre 2016
Nous pouvons changer des vies pour la vie… c’est la mission que se donne Centraide en appuyant 219 organismes et projets communautaires d’ici. Ces organismes permettent de soutenir les personnes plus vulnérables de la société, mais également ceux et celles qui se retrouvent temporairement en situation de crise.
Au cours des prochains jours, des employés et étudiants de la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique (FFGG) prendront part à la campagne Centraide-Université Laval. En participant à la campagne, la contribution de chacun par un don pourrait avoir des retombées concrètes (soutenir la réussite des jeunes, briser l’isolement social, assurer l’essentiel).
Il est possible de faire un don par déduction à la source. C’est le moyen le plus facile et le plus efficace de donner! Le reçu d’impôt apparaîtra automatiquement sur vos relevés de fin d’année (T4 et relevé 1) émis par l’employeur.
Il y aura également:
Cette année encore, la Forêt Montmorency est partenaire de la campagne Centraide de la FFGG. Tous les donateurs seront récompensés par la remise de billets de tirage pour un forfait à la Forêt Montmorency!
Merci de votre accueil envers nos ambassadeurs et merci de votre appui à Centraide.
Ambassadeurs: Sylvie St-Jacques, Pierre-Serge Tremblay, Valérie Cloutier, Guylaine St-Pierre, Isabelle Sévigny, Marie-Noël Gagnon
En savoir plus sur la campagne Centraide de l'Université Laval
Yvan Bédard, nommé professeur émérite
23 septembre 2016
Yvan Bédard a enseigné pendant 28 ans au Département des sciences géomatiques. Tout au long de sa carrière, il a fait figure de leader et de visionnaire innovateur et concret. Son leadership, mais aussi son expertise et ses capacités de communicateur lui ont permis mener à terme une véritable révolution dans les programmes de formation en géomatique. Comme autre fait d’armes, Yvan Bédard a obtenu une chaire de recherche industrielle du Conseil de recherches en sciences naturelles et en génie du Canada (CRSNG) impliquant neuf partenaires majeurs. Il s’agit de la seule chaire de ce genre en géomatique au Canada. Comme innovateur, il est considéré comme le père de la technologie SOLAP (Spatial On-Line Analytical Processing) dont il a développé les concepts fondamentaux et le premier produit commercialisé.
Lire le texte de Yvon Larose sur lefil
Crédit photo: Marc Robitaille
Hommage à Frédéric Back, amoureux de la nature
22 septembre 2016
L'Université a honoré la mémoire de Frédéric Back par la plantation de trois arbres sur le campus, ainsi que par l'installation d'une plaque commémorative.
Éric Bauce, vice-recteur exécutif et au développement, ainsi que des représentants de différentes unités et facultés ont procédé au dévoilement d’une plaque commémorative et à la plantation de trois arbres – un chêne, un bouleau et un mélèze – en mémoire du cinéaste et militant écologiste.
Frédéric Back a été artiste-peintre, illustrateur, muraliste et réalisateur de films d’animation.
Lire le texte de Mathieu Dessureault dans lefil.
Photo: de gauche à droite, Suzanne Leblanc, vice-doyenne de la Faculté d'aménagement, d'architecture, d'art et de design, Éric Bauce, vice-recteur exécutif et au développement, Stéphane Roche, vice-doyen de la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique, et Mathieu Gagnon, directeur du Service des résidences.
Crédits: Louise Leblanc
Création du Fonds de bourses Ted-T.-Katz, ing., a.-g. et Robert-Katz, ing., a.-g. en sciences géomatiques
16 septembre 2016
En versant 25 000$ chacun, Ted Katz et son fils Robert Katz ont créé le Fonds de bourses Ted-T.-Katz, ing., a.-g. et Robert-Katz, ing., a.-g. en sciences géomatiques, attaché au Fonds de la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique. Les bourses sont offertes à des étudiants de troisième année au programme de sciences géomatiques qui font face à une situation financière précaire.
En 1970, Ted Katz fonde le Groupe Conseil T. T. Katz, à Montréal, et transmet son amour du métier à son fils Robert, qui suivra sa trace. Fier de sa réussite professionnelle, qui lui a permis d’accumuler un patrimoine important, Ted Katz a choisi de donner le tiers de tous ses avoirs pour soutenir des causes qui lui sont chères, dont la formation à l’Université Laval.
La Soirée des étudiants internationaux de l'Université Laval - 1ère édition
15 septembre 2016
Au Grand Salon, le mardi 27 septembre prochain de 17 h à 21 h, se tiendra la première édition de la Soirée des étudiants internationaux de l'Université Laval.
La Fondation, le Bureau du recrutement (BRE), le Bureau de la vie étudiante (BVE), et le Service des résidences (SRES) de l’Université Laval joignent leurs forces pour cette première édition. Sous la forme d’un cocktail-réseautage grandiose, cet événement se veut une occasion unique de réunir les étudiants internationaux de l’Université Laval.
Consultez la page Facebook de l’événement.
Horaire
17h Volet réseautage
Service de bouchées, discours, jeux-réseautage, animation par Archy, prix de présence et autres surprises
(Des bouchées et une consommation incluse)
20h Volet spectacle
Prestations artistiques hautes en couleur et service de bar (argent comptant seulement)
Pour se procurer un billet :
En ligne: http://bit.ly/2b3VD0L
Sur le campus:
- Au salon d'accueil des étudiants étrangers
Local 2470, pavillon Desjardins-Pollack - Au Bureau de la vie étudiante
Local 2344, pavillon Desjardins-Pollack - Au guichet de services du Service des résidences
Local 1604, pavillon Alphonse-Marie-Parent
Coûts
- 15 $ en prévente jusqu'au 23 septembre
- 20 $ à la porte
- Taxes incluses. Places limitées
Les associations étudiantes sont invitées à se procurer un lot de billets.
Un prix de participation est prévu pour récompenser l’association qui vendra le plus de billets.
Pour tout renseignement supplémentaire :
Eva Canac Marquis Dumas
Conseillère en communication – Médias sociaux
Téléphone : 418 656-2131, poste 4118
Courriel : eva.cm-dumas@ful.ulaval.ca
Une prairie urbaine
08 septembre 2016
Une prairie urbaine pousse depuis quelques mois au croisement de la rue de la Terrasse et de l’avenue de la Médecine, plus précisément dans l’espace vert situé près du pavillon d’Optique-photonique. Le projet a été lancé par la professeure Alison Munson, du Département des sciences du bois et de la forêt, en collaboration avec l’étudiante Élise Beauregard, inscrite à la maîtrise en sciences forestières.
Il a pour but la restauration de la fertilité de sols urbains ayant été manipulés et compactés. Ces traitements ont mené à la dégradation des propriétés physiques, chimiques et biologiques des sols. Une gestion plus écologique favorisera, au fil des années, la croissance de végétaux bénéfiques aux écosystèmes.
Photo: Pascale Fillion
Texte: Lefil
Créer de la richesse avec la tordeuse des bourgeons de l'épinette
06 septembre 2016
En 2015, au Québec, plus de 6,3 millions d'hectares de forêt ont été touchés par la tordeuse des bourgeons de l'épinette, soit une superficie presque équivalente à celle du Nouveau-Brunswick. Mais des recherches menées à l'Université Laval font valoir l'autre côté de la médaille : tout le bois ravagé pourrait faire naître une industrie entière, au Québec.
Visionnez le reportage:
Créer de la richesse avec la tordeuse des bourgeons de l'épinette
Alexandre Duval, sur le site ici.radio-canada.ca
3 septembre 2016
Photo: Extrait du reportage, Radio-Canada
Il est encore possible de faire une demande d'admission pour l'automne 2016
23 août 2016
L'admission à la session d'automne 2016 est encore possible jusqu'au 2 septembre 2016 dans plusieurs de nos programmes. Veuillez contacter rapidement l'agente de gestion des études selon le programme visé pour obtenir plus d’information et remplir le formulaire requis. Notez que les candidats admis tardivement pourraient avoir un délai dans l’ouverture de leur dossier et l’accès au contenu des cours sur internet.
AGENTES DE GESTION DES ÉTUDES |
Mme Carmen Demers, agente de gestion des études, 1er cycle Baccalauréats en environnements naturels et aménagés, aménagement et environnement forestiers, opérations forestières, génie du bois, génie géomatique, sciences géomatiques et certificat en développement durable. Pavillon Abitibi-Price bureau 1250 |
Mme Judith Giguère, agente de gestion des études, 1er-2e et 3e cycles Programmes de 1er, 2e et 3e cycles en géographie, certificat en tourisme durable, maîtrise en biogéosciences de l'environnement et microprogramme de 2e cycle en changements climatiques. Pavillon Abitibi-Price bureau 1250 |
Mme Sophie-Anne Landry, agente de gestion des études, 2e et 3e cycles Programmes de 2e et 3e cycles en sciences forestières, sciences du bois et sciences géomatiques et microprogramme de 2e cycle en géomatique. Pavillon Abitibi-Price bureau 1250 |
Offre d'emploi: Professeur ou professeure en amémagement des forêts privées
27 juin 2016
Dans le cadre de son plan de développement, le Département des sciences du bois et de la forêt est à la recherche d’une professeure ou d’un professeur en aménagement des forêts privées, poste conditionnel à l’obtention d’une Chaire de leadership en enseignement de l’Université Laval, dont les activités d’enseignement et de recherche seront axées sur des domaines tels que:
- Sociologie des propriétaires forestiers;
- Influence des politiques publiques sur le comportement des propriétaires forestiers;
- Sylviculture et aménagement en forêt privée;
- Production de bois et mise en marché des bois de la forêt privée;
- Enjeux économiques en forêt privée;
- Enjeux environnementaux en forêt privée;
- Nouvelles technologies de l’information dans les activités de transfert de connaissances.
La tâche comprend :
- L’enseignement à tous les cycles en aménagement des forêts privées et autres domaines connexes;
- Le développement de programmes et de l’enseignement de cours de formation sur mesure destinés aux professionnels forestiers et aux différents intervenants en forêt privée;
- Le développement de nouvelles méthodes pédagogiques ou matériel didactique;
- L’obtention de financement de recherche auprès d’organismes de subvention et commanditaires externes pour conduire ses travaux de recherche;
- La conduite de travaux de recherche et la direction d’étudiantes et d’étudiants de 2e et 3e cycles sur des sujets reliés à l’aménagement des forêts privées;
- La participation à des comités départementaux, facultaires, universitaires et multipartites (avec les secteurs privé et public).<
Hommage aux chercheurs-inventeurs: félicitations à Tatjana Stevanovic Janezic et Georges Thibaut Koumba Yoya!
14 juin 2016
L’Hommage aux chercheurs-inventeurs membres de l’Université Laval souligne l’excellence et la créativité des chercheurs-inventeurs qui ont déposé une nouvelle demande de brevet au courant de l’année précédente. L’Université Laval désire, par cet hommage, reconnaître l’apport de ces chercheurs-inventeurs au milieu et à la société en général. Cet événement est organisé par le Vice-rectorat à la recherche et à la création.
L'hommage rendu à Tatjana Stevanovic Janezic et Georges Thibaut Koumba Yoya est pour leur élaboration du procédé organosolv pour extraction de la lignine hautement pure. Il s'agit d'un procédé de production d'une lignine exempte de soufre et ayant mieux conservé ses propriétés, lui accordant ainsi des possibilités d'application à haute valeur ajoutée, dont les fibres de carbone.
Les lauréats 2016 ont été honorés lors de la cérémonie hommage tenue le 13 avril.
Photo: Marc Robitaille
Mme Martine Lapointe, récipiendaire du prix Engagement facultaire de la FFGG!
08 juin 2016
Le prix Engagement facultaire de la FFGG a été remis à Mme Martine Lapointe, technicienne experte au Département des sciences du bois et de la forêt, le mercredi 8 juin dernier, lors d’un cocktail en présence des membres du personnel de la Faculté.
Cet honneur souligne son professionnalisme, ses réalisations, son enthousiasme à toujours relever de nouveaux défis, sa générosité et sa disponibilité pour l’ensemble de la communauté facultaire ainsi que son dévouement.
Six étudiantes de la Faculté remportent un Prix lors du concours Chapeau les filles-volet Excelle science
07 juin 2016
Six étudiantes de la Faculté ont remporté les honneurs dans le cadre du concours Chapeau les filles - volet Excelle science. Un record pour la Faculté! Elizabeth Aleman, étudiante en génie géomatique, Élise Bouchard, Anne Voyer, Marie-Soleil Fradette et Catherine Eva Ruest-Bélanger, étudiantes en aménagement et environnement forestiers et Catherine Bouchard, étudiante en opérations forestières ont été honorés dans le cadre du Gala national Chapeau les filles/Excelle science qui s’est tenu à l’Assemblée Nationale.
Le concours Excelle Science souligne la volonté et le travail des femmes inscrites au baccalauréat dans un programme de sciences et technologies menant à l'exercice d'un métier traditionnellement masculin.
Elizabeth Aleman, étudiante au baccalauréat en génie géomatiqueLauréate d'un prix Communauté culturelle de 2000$ remis par la Confédération des syndicats nationaux, Elizabeth n'exagère pas quand elle s'affirme polyvalente. Non seulement cette Mexicaine d'origine a étudié dans différents pays, mais elle a aussi expérimenté trois domaines du génie : physique, mécanique et géomatique... Ou plutôt quatre puisqu'elle s'est aussi enrôlée comme technicienne en géomatique au 35e Régiment du Génie de combat des Forces armées canadiennes. « Je suis la première soldate dans ce domaine et la première femme à représenter cette profession au pays. » Et cela, tout en menant ses études de front. Après son parcours du combattant – à braver les obstacles linguistiques, scolaires et financiers –, la tenace Elizabeth remportera sa grande bataille : devenir ingénieure. |
Élise Bouchard, étudiante au baccalauréat en aménagement et environnement forestiersLauréate d'un prix Excelle Science de 2000$ du ministère de l’Éducation et de l’Enseignement supérieur, Élise est une demme d'équipe et d'entraide, avide de contribuer à l'avenir de la foresterie. Splendeur, liberté et apprentissage. Aux yeux d'Élise Bouchard, c'est ce que la nature et les régions du Québec symbolisent depuis toujours. « Mon intérêt pour les écosystèmes a pris racine dans mes voyages d'enfance », raconte cette fervente amatrice de plein air, qui ne redoute pas le travail de terrain. Tout aussi en forme qu'orgueilleuse, elle a fait ses preuves dès son premier stage, en forêt montagneuse, où était requise l'endurance physique et mentale. |
Marie-Soleil Fradette, étudiante au baccalauréat en aménagement et environnement forestiersLauréate d'un prix Excelle Science de 2000$ du Ministère de l'Économie, de la Science et de l'Innovation, Marie-Soleil est une petite-fille de garde forestier. L'argent ne pousse pas dans les arbres mais, pour bien des familles et des municipalités, il vient de là!. Future ingénieure forestière, Marie-Soleil Fradette le sait. « Le défi est de trouver l'équilibre entre la préservation de l'environnement et le maintien des emplois », dit-elle. Motivée et motivante, Marie-Soleil prend racine dans son milieu sans frapper de nœuds. Selon elle, l'intégration des femmes favorise la cohésion et l'efficacité des équipes de travail. « Comme les mycorhizes qui renforcent les arbres et les font pousser plus vite! » |
Anne Voyer, étudiante au baccalauréat en aménagement et environnement forestiersLauréate d'un Prix Stage dans un laboratoire en France du Centre national de la recherche scientifique et des Offices jeunesse internationaux du Québec, Anne pourra réaliser un stage en France en écologie forestière ou en physiologie de l'arbre. « Une opportunité qui me permettra de m'initier à la recherche et, peut-être, de développer une passion qui me guidera dans mon choix de maîtrise. » Ancienne étudiante en nutrition, Anne a bifurqué vers la foresterie après un job d'été comme reboiseuse, durant lequel son amour de la forêt s'est épanoui. Dès son premier stage professionnel – unique femme et seule universitaire dans un camp forestier –, elle a réussi à se tailler une place. Ne lui reste plus qu'à s'en bûcher une dans son labo français! |
Catherine Eva Ruest-Bélanger, étudiante au baccalauréat en aménagement et environnement forestiersLauréate d'un prix Excelle Science de 2000$ du Ministère de l'Économie, de la Science et de l'Innovation, Catherine a plantés plus de 285 000 arbres en Colombie-Britannique et en Alberta. « Je connais les rigueurs du travail sylvicole : c'est essentiel pour une future ingénieure forestière! » Élevée avec trois frères, seule femme tromboniste durant son DEC en musique, Catherine est à l'aise dans les « milieux de gars ». Après le bac, elle veut se concentrer sur l'aspect social de la foresterie, avec une maitrise sur la gouvernance des forêts par les autochtones. En plus de planter des arbres, ce sont les graines du changement qu'elle compte semer. |
Catherine Bouchard, étudiante au baccalauréat coopératif en opérations forestièresLauréate d'un prix Excelle Science de 2000$ du ministère Ministère de l'Économie, de la Science et de l'Innovation, Catherine mentionne qu'il est possible de commencer chaque journée avec l'envie d'aller au boulot. « Je l'ai compris dès mon premier stage en forêt : se lever avec le soleil, travailler dehors, avoir à cœur la pérennité de la ressource... J'adore mon futur métier! » Se retrouver en milieu masculin ne fait pas peur à cette bûcheuse doublée d'une leader. « J'ai de la facilité pour les sciences appliquées, talon d'Achille de tous mes collègues. » Titulaire d'un bac en actuariat et entraîneuse-chef d'une équipe de volleyball, Catherine se démarque par son parcours hors des sentiers battus : jolie façon d'éclaircir la voie pour celles qui suivront. |
Francis Roy à la direction du Département des sciences géomatiques
01 juin 2016
Depuis le 1er juin, Francis Roy est le nouveau directeur du Département des sciences géomatiques. Félicitations pour ce nouveau poste et bonne chance dans ses nouveaux défis!
Barry Gardiner, doctorat honoris causa en sciences forestières
31 mai 2016
Physicien et leader en matière de développement des sciences forestières. Sa notoriété internationale n’est pas seulement associée à ses réalisations scientifiques, mais aussi à sa sensibilité, à son humilité et à sa grande ouverture sur le monde.
M. Barry Gardiner recevra un doctorat honorifique en sciences forestières à l’occasion de la traditionnelle cérémonie de collation des grades qui aura lieu le 12 juin 2016.
Le doctorat honorifique est la plus haute distinction décernée par l’Université Laval. Il reconnaît le rayonnement exemplaire d’une personne dans une des sphères d’activité de l’Université et en lien avec ses valeurs institutionnelles.
Crédit photo : Marc Robitaille
Première entente de collaboration en génomique forestière entre l’Université Laval et le Centre de foresterie des Laurentides du Service canadien des forêts
24 mai 2016
L’Université Laval et le Centre de foresterie des Laurentides du Service canadien des forêts de Ressources naturelles Canada ont formalisé leur volonté de travailler ensemble en génomique forestière en signant une première entente de collaboration. Cette nouvelle a été annoncée lors du congrès annuel du Conseil de l’industrie forestière du Québec le 12 mai dernier à Québec. Cette alliance scientifique et technique contribuera à faire progresser la recherche en science forestière au Canada.
L’entente officialise les mécanismes qui faciliteront la réalisation d’une vision stratégique commune. Tout d’abord, il s’agit de former des ressources humaines de capacité et d’expertise de renommée mondiale pour faire progresser la science forestière au Canada. Également, l’entente vient faciliter la collaboration en recherche et l’innovation pour appuyer la compétitivité du secteur forestier.
Concrètement, cette première entente entre l’Université Laval et le SCF-CFL rendra plus efficace la mise en commun de l’expertise en génomique forestière pour aider le secteur à lutter contre les ravageurs, à s’adapter aux changements climatiques, à augmenter la productivité forestière et la qualité du bois.
Les chercheurs de l’Université Laval et du SCF-CFL continueront à travailler au cours des prochaines années sur des projets prometteurs en génomique. On pense entre autres à une application de la génomique qui permettrait d’authentifier l’espèce exacte et la provenance géographique d’un arbre. Étant donné l’importance qu’accordent désormais les acheteurs de produits forestiers à l’origine de ces produits, ici et ailleurs, l’enjeu est de taille pour l’industrie forestière canadienne.
La génomique, qui vise à étudier et à comprendre l’information génétique d’un individu (humain, arbre, microorganisme, etc.), est de plus en plus au cœur de nos vies.
Extrait tiré du journal Le monde forestier. Texte de Nathalie Chaperon, Ressources naturelles Canada.
Vous pouvez lire le texte complet dans l'édition du mois de mai 2016.
Guy Mercier, nouveau doyen de la Faculté à partir du 1er juillet
05 mai 2016
C'est durant la séance ordinaire du 20 avril que les membres du Conseil d'administration ont nommé deux nouveaux doyens. Il s'agit de Guy Mercier, à la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique, et de Guillaume Pinson, à la Faculté des lettres et des sciences humaines. Tous deux sont professeurs titulaires, le premier au Département de géographie, le second au Département des littératures. Ils entreront en fonction le 1er juillet. Leur mandat prendra fin le 30 juin 2020.
Guy Mercier est un spécialiste d'histoire et d'épistémologie de la géographie. Sa faculté, il la connaît bien, pour avoir été directeur du Département de géographie de 2008 à 2015. «Durant cette période, je me suis rendu compte à quel point mes collègues en foresterie et en géomatique avaient de bons programmes de recherche et d'enseignement! Il y a un élément de camaraderie qui fait que j'ai envie de poursuivre la collaboration avec eux. Être doyen est aussi un moyen de servir l'Université, un milieu de travail stimulant qui a été très généreux avec moi depuis le début de ma carrière, il y a 25 ans.»
Son but: mobiliser les forces en sciences naturelles et en sciences sociales. Il entend aussi consolider l'image de la Faculté par rapport au développement durable. «Nous sommes tout à fait aptes à être des répondants de première ligne en ce qui concerne les grands enjeux du développement durable, dont la lutte aux changements climatiques. La Faculté a tout ce qu'il faut pour être un interlocuteur social fort, que ce soit auprès des partenaires de l'industrie, de la vie associative ou de l'État. Par nos actions, nos enseignements et nos recherches, on est capable d'aider à la compréhension des principes du développement durable.»
À l'instar de Guillaume Pinson, Guy Mercier conservera une charge de cours réduite et poursuivra des travaux de recherche. Avec d'autres chercheurs, il travaille à l'élaboration d'un atlas en ligne, destiné aux MRC et aux municipalités québécoises, visant à les aider dans l'adaptation aux changements climatiques.
Mai, mois de l'arbre et des forêts
04 mai 2016
Dans le cadre du Mois de l'arbre et des forêts, le doyen de la Faculté, M. Robert Beauregard, a rédigé un article dans le cahier spécial "La forêt, notre richesse" publié dans le journal Le Soleil et conçu par l'Association froestière des deux rives. Il y présentait les travaux du chantier sur la production de bois en présentant le volet économique de la Stratégie d’aménagement durable des forêts et ses recommandations pour favoriser la croissance de la valeur ajoutée produite par le secteur forestier. Selon lui, nous avons entre nos mains tous les atouts pour être compétitif. "En fait, nous pouvons faire mieux parce que, d’une part, nous comprenons mieux aujourd’hui la dynamique des forêts naturelles, nous pouvons travailler plus étroitement avec la nature et, d’autre part, nous avons la capacité de R&D et d’innovation pour inventer aujourd’hui les produits forestiers de demain" mentionne t'il.
Vous pouvez lire l'article complet en page 6 du cahier spécial "La forêt notre richesse".
Signature d'un protocole d’entente en recherche sur la construction écoresponsable en bois
03 mai 2016
Une étape importante vient d’être franchie dans l’établissement d’un consortium international de recherche dans le domaine de la construction écoresponsable en bois. Le jeudi 21 avril à l’École d’architecture, les représentants de quatre universités, dont l’Université Laval, ont signé un protocole d’entente (memorandum of understanding) dans le cadre du projet BioBuild. Lancée par le professeur Pierre Blanchet, du Département des sciences du bois et de la forêt, l’initiative BioBuild, portée par ce même département, a pour objectif de recherche la construction écoresponsable à base de matériaux biosourcés. Les trois autres partenaires sont l’Université de Bordeaux, en France, l’Université de Bio-Bio, au Chili et l’Université de l’État de Washington, aux États-Unis.
«S’appuyant sur la multidisciplinarité et l’approche chaîne de valeur, cette nouvelle alliance regroupe aujourd’hui quatre leaders et visionnaires mondiaux», a déclaré le vice-recteur à la recherche et à la création, Edwin Bourget, présent à la signature. Selon lui, cette initiative s’inscrit dans le droit fil du Plan de développement de la recherche 2015-2020 de l’Université Laval. Ce plan renforce la nécessité de créer de nouvelles approches s’appuyant sur la collaboration, le partenariat avec les milieux privés et publics et l’ouverture à l’international. «La signature du protocole d’entente, a-t-il ajouté, cristallise une première étape qui témoigne d’une collaboration prometteuse, basée sur la mise en commun des forces et le partage de connaissances.»
Pierre Blanchet est le titulaire de la Chaire industrielle de recherche du CRSNG sur la construction écoresponsable en bois. Pluridisciplinaire, la Chaire regroupe des chercheurs de neuf départements répartis entre trois facultés. Son mandat consiste à concevoir des solutions permettant de minimiser les émissions de carbone dans la construction commerciale, institutionnelle, industrielle et résidentielle multi-étagée.
Selon le professeur, les cosignataires de l’entente partagent les mêmes objectifs de recherche que ceux des membres de la Chaire. «Dans le monde, explique-t-il, de nombreux chercheurs travaillent sur la construction en bois. Habituellement, ils se penchent sur des aspects très précis. À la Chaire, tout comme chez nos partenaires du projet BioBuild, nous avons une vision large, une approche holistique de la construction en bois, qui couvre les étapes de la conception, de l’utilisation et de la fin de vie des bâtiments.»
Ce qui différencie plus spécifiquement les travaux de la Chaire est l’importance accordée à l’impact du carbone émis par les bâtiments. Cette approche découle du cinquième rapport du Groupe d’experts intergouvernemental sur l’évolution du climat, mieux connu par son acronyme GIEC. Les auteurs du rapport avancent que l’on peut avoir une grande efficacité dans la lutte aux gaz à effet de serre (GES), relativement aux bâtiments, grâce à des technologies existantes ou en voie de l’être. «Au Canada, indique Pierre Blanchet, plus de 35 % des émissions de GES proviennent de la consommation d’énergie des bâtiments. Or, en substituant un mètre cube de bois à l’acier ou au béton, on prévient le dégagement d’une tonne de GES dans l’atmosphère.»
Chacune des délégations était composée d’un maximum de trois personnes, tous des chercheurs. Après la signature du protocole d’entente, ils ont entamé deux jours d’ateliers de travail. Dans l’un d’eux, chaque partenaire a présenté ses initiatives de recherche liées à la construction écoresponsable en bois. Un autre atelier a servi à présenter les opportunités et les défis amenés par la Conférence de Paris de 2015 sur le climat, toujours dans le dossier de la construction en bois.
La rencontre a servi à jeter les bases et à définir le cadre d’une éventuelle collaboration. «Tous les partenaires ont un intérêt dans le projet, souligne Pierre Blanchet. Leur présence à Québec témoignait de leur volonté d’établir un plan de match. Nous devrons notamment être sensibles aux préoccupations des uns et des autres.»
Quelques visites ont agrémenté la rencontre. Dès mercredi, les chercheurs se sont rendus à la Cité verte, un vaste projet multirésidentiel dans le domaine du bâtiment vert et intelligent à Québec. Jeudi, ils ont vu le site de la reconstruction du Manège militaire de Québec. Ce bâtiment patrimonial sera doté d’une structure de bois faite de matériaux modernes.
Sur la photo, Pierre Blanchet, de l'Université Laval et Todd Beyreuther, de l'Université de l'État de Washington (à l'avant), Maureen Trebilcock, de l'Université de Bio-Bio, Christine Delisee, de l'Université de Bordeaux et Edwin Bourget, de l'Université Laval (à l'arrière).
Texte de Yvon Larose
Le fil
Collaboration entre le Château Frontenac et la Forêt Montmorency
03 mai 2016
Les clients du Fairmont Le Château Frontenac pourront contribuer à planter un arbre à la forêt Montmorency, une belle façon de faire sa part pour l’environnement!
Le fonctionnement du nouveau programme Château Boréal est simple. Pour tous les séjours de deux jours ou plus, le Château Frontenac propose à ses clients de laisser tomber la visite quotidienne d’entretien de leur chambre. En réutilisant les draps et les serviettes et en évitant l’utilisation d’appareils électriques ou de produits nettoyants pendant leur séjour, ils aideront à réduire la consommation d’eau, d’énergie et de produits. En revanche, l’établissement s’engage à planter un arbre à leur nom à la forêt Montmorency, lieu d’enseignement et de recherche de l’Université Laval.
Des espaces de la forêt où l’on a effectué des coupes seront ainsi repeuplés. À terme, plusieurs milliers d’arbres seront plantés, agissant comme un immense puits de carbone grâce à la photosynthèse. «En raison de son aménagement unique, la forêt Montmorency capte l’équivalent de 13 945 tonnes de CO2 chaque année. Le coup de pouce du Château Frontenac nous permettra d’atteindre des objectifs encore plus grands», se réjouit Hugues Sansregret, directeur des opérations de la forêt Montmorency.
En plus de permettre à l’Université de réduire davantage ses émissions de gaz à effet de serre, les nouveaux arbres enrichiront la recherche dans le domaine forestier. Évelyne Thiffault, professeure au Département des sciences du bois et de la forêt, est responsable scientifique d’un projet visant à optimiser les stratégies d’aménagement forestier. Les plantations permettront à son équipe de poursuivre les recherches sur les puits de carbone. Leurs découvertes seront transmises aux étudiants en foresterie, à qui l’on enseigne les bonnes pratiques en matière d’aménagement durable.
Le directeur général du Fairmont Le Château Frontenac, Robert Mercure, se dit très fier de collaborer avec l’Université dans ce projet. «Nos deux organisations s’engagent dans une aventure qui sera enrichissante pour notre clientèle, mais aussi pour la recherche dans le domaine. Pour nous, il était clair que nous voulions développer ce projet avec un partenaire de proximité et d’envergure. La forêt Montmorency est la plus grande forêt d’enseignement et de recherche au monde, totalisant 412 km2. Elle est ouverte au public et est située à 45 minutes au nord du Château Frontenac, ce qui en fait un partenaire idéal !»
Son enthousiasme est partagé par Éric Bauce, vice-recteur exécutif et au développement de l’Université : «Le leadership en développement durable de l’Université Laval en fait un modèle inspirant pour la société. Nous sommes ravis de ce partenariat avec Fairmont Le Château Frontenac, qui illustre la volonté d’une entreprise de participer avec nous aux efforts collectifs de lutte aux changements climatiques.»
Quand on y pense, cette association était écrite dans le ciel. En plus d’être deux joueurs majeurs de la scène touristique régionale, orientés vers le développement durable, le Château Frontenac et la forêt Montmorency collaborent depuis un an à travers la Chaire de recherche en partenariat sur l’attractivité et l’innovation en tourisme (Québec – Charlevoix). Ce regroupement, qui vise à accroître l’attractivité touristique de la région tout en favorisant l’innovation dans le domaine, a joué un rôle clé dans la concrétisation de l’entente. «La Chaire a servi de catalyseur, explique Hugues Sansregret. Son titulaire, Laurent Bourdeau, a grandement contribué à la réalisation du projet. Voici un bel exemple de retombées inattendues entre le milieu de la recherche et l’industrie !»
Texte de Matthieu Dessureault
Le Fil
Bilan de la première semaine de la philanthropie étudiante de la Faculté
15 avril 2016
Du 4 au 8 avril 2016, s’est tenue à la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique (FFGG), la première semaine de la philanthropie étudiante de l’histoire de l’Université Laval. Le Cercle philanthropique de la FFGG, formé d’étudiantes et d’étudiants des trois départements de la Faculté, était fier d’avoir atteint ses objectifs pour l’an un de cette initiative.
Le mercredi 6 avril, au Pavillon Abitibi-Price, les occasions d’échanges sur la philanthropie se sont multipliées autour d’une collation et d’un café offerts gracieusement au kiosque philanthropie. Des produits de l’érable, reçus en don, ont été vendus et ont permis de constituer un fonds pour soutenir le développement de la philanthropie étudiante à la FFGG, dans le futur.
Des centaines d’étudiantes et d’étudiants ont été sensibilisés à la présence de la philanthropie dans le contexte d’enseignement et de recherche de la Faculté : acquisition de matériel de pointe, projets de recherche, fonds, etc.
Plus particulièrement touchés par l’importance de la philanthropie à la FFGG, 15 étudiantes et étudiants, ayant reçu récemment une bourse d’études, ont contacté plus de 300 donateurs pour leur dire MERCI! Cette activité de reconnaissance et de gratitude a permis à plusieurs diplômés, fidèles à leur alma mater, de saluer l’initiative et d’exprimer leur plaisir d’échanger avec les étudiantes et étudiants de la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique.
L’édition 2016 de cette activité philanthropique étudiante est un franc succès. Les membres dynamiques du Cercle philanthropique ont déjà en tête plusieurs idées à mettre de l’avant pour la semaine de la philanthropie étudiante 2017!
Grâce à ses partenaires, la Faculté remet près de 400 000 $ en bourses à 75 étudiants
07 avril 2016
La Faculté était en fête le 17 mars dernier alors qu’avait lieu la cérémonie annuelle de remise des bourses et des prix de la Faculté. En plus du Prix Enseignement remis à Luc Bouthillier, le vice-recteur aux études et aux activités internationales, M. Bernard Garnier, et le doyen de la Faculté, M. Robert Beauregard, ont souligné le mérite de 75 étudiants de la Faculté qui sont repartis avec plus de 386 500 $ en bourses durant la soirée.
Le doyen a tenu à remercier tous les partenaires de la Faculté grâce à qui ces bourses ont pu être accordées. Les dons et les fonds créés par les donateurs permettent d’encourager l’excellence et l’engagement des étudiants aux trois cycles d’études et favorisent grandement leur persévérance. Le doyen a vivement salué l’arrivée de nouveaux donateurs, tous arpenteurs-géomètres, qui contribuent à des bourses en sciences géomatiques, dont messieurs Ted T. Katz et Robert Katz, M. Marcel Cadoret du Groupe Cadoret et M. Robert Mathieu de la société Ecce Terra. Le don de messieurs Katz a d’ailleurs permis de créer le nouveau Fonds de bourse Ted-T.-Katz, ing., a.-g. et Robert-Katz, ing., a.-g. en sciences géomatiques.
Au cours de la cérémonie, trois finissants de premier cycle ont aussi reçu le prix Rayonnement de la Faculté pour leur participation remarquable à la vie étudiante, leur engagement dans leur futur milieu professionnel ou leur contribution significative à la promotion de leur domaine d’études auprès des jeunes ou du grand public. Les récipiendaires de chacun des trois départements de la Faculté sont :
- Mme Sarah Gauthier, finissante au baccalauréat en géographie;
- Mme Mathilde Routhier, finissante au baccalauréat en aménagement et environnement forestiers;
- Mme Ève St-Pierre, finissante au baccalauréat en sciences géomatiques.
En cette année de Grande campagne de la Fondation de l’Université Laval, le doyen de la Faculté a rappelé à tous, étudiants, employés, diplômés, partenaires et amis de la FFGG, l’importance de contribuer aux différents fonds et projets de la Faculté. Parmi ceux-ci, mentionnons le projet de modernisation de la Forêt Montmorency intitulé « Vers une forêt intelligente », le Fonds de bourses en géographie, le Fonds de bourse Foresterie sans frontière et le Fonds Joncas. Riche d’une tradition plus que centenaire et de programmes uniques au Québec, la Faculté possède tous les atouts pour développer une grande culture philanthropique.
Pour information : ffgg@ffgg.ulaval.ca
Pour faire un don : http://www2.ulaval.ca/fondation/faire-un-don/
Appel à candidatures pour un projet de maîtrise en télédétection
05 avril 2016
Damien Mathis remporte le deuxième prix du niveau doctorat au concours « Ma thèse en 180 secondes »
04 avril 2016
Félicitations à Damien Mathis, étudiant au doctorat en sciences du bois, qui a remporté le deuxième prix du niveau doctorat à la finale lavalloise du concours « Ma thèse en 180 secondes »!
Damien est étudiant au CIRCERB, sous la direction de Pierre Blanchet. Sa thèse porte sur le développement de nouveaux matériaux de haute inertie thermique à base de bois.
Treize finalistes provenant de huit facultés ont participé à la finale lavalloise du concours « Ma thèse en 180 secondes » qui a eu lieu le 30 mars dernier à l’auditorium Jean-Paul-Tardif du pavillon La Laurentienne.
Organisé par la Faculté des études supérieures et postdoctorales de l’Université Laval, ce concours vise à encourager les étudiants des cycles supérieurs à développer leurs aptitudes de communicateur et de vulgarisateur scientifique. Les membres du jury pour l’édition 2016 étaient Mme Dominique Payette, professeure titulaire à la Faculté des lettres et des sciences humaines, M. Alain Faucher, directeur général de la Direction générale du premier cycle, M. Denis Laurendeau, professeur titulaire à la Faculté des sciences et de génie, ainsi que le vice-doyen de la Faculté des études supérieures et postdoctorales, M. Alain Beaulieu.
Au cours de cette compétition de très haut niveau, Maud Gratuze, étudiante au doctorat en neurobiologie à la Faculté de médecine, s’est distinguée en remportant le premier prix du niveau doctorat. Damien Mathis, étudiant au doctorat en sciences du bois à la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique, a remporté le deuxième prix.
Au niveau de la maîtrise, Alisson Clémenceau, étudiante à la maîtrise en médecine moléculaire à la Faculté de médecine, a décroché le premier prix et Laurent Dallaire, étudiant à la maîtrise en science et technologie des aliments à la Faculté des sciences de l’agriculture et de l’alimentation, a gagné le deuxième prix.
Le Prix du public a été attribué à Laurent Dallaire.
L’étudiante Maud Gratuze représentera l’Université Laval à la finale nationale qui se déroulera le mercredi 11 mai 2016, au 84e Congrès de l’Acfas, à l’Université du Québec à Montréal.
Toutes nos félicitations à nos gagnantes et à nos gagnants !
Semaine de la philanthropie étudiante
04 avril 2016
La Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique tiendra une semaine de philanthropie étudiante du 4 au 8 avril, une première à l'Université Laval. Ce projet est l'initiative d'un petit groupe d'étudiantes et d'étudiants engagés dans le développement de la culture philanthropique à la faculté. Cette semaine vise à sensibiliser les étudiants à la présence de la philanthropie dans un contexte d'enseignement et de recherche et non à solliciter des dons.
L'activité permettra également de lancer un mouvement de reconnaissance des donateurs de la Faculté. La Fondation de l'Université Laval appuie cette initiative étudiante avec enthousiasme et espère qu'elle saura inspirer d'autres facultés dans l'avenir.
https://www.facebook.com/events/995329240503996/
http://www.lefil.ulaval.ca/articles/semaine-philanthropie-etudiante-38495.html
https://www.facebook.com/Cercle-philanthropique-FFGG-520824041430087/
Luc Bouthillier, récipiendaire du prix Enseignement de la Faculté
21 mars 2016
Le prix Enseignement de la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique a été remis à M. Luc Bouthillier, professeur au Département des sciences du bois et de la forêt.
Cet honneur souligne sa contribution exceptionnelle en enseignement à tous les cycles d’études depuis de nombreuses années ainsi que la passion et l’enthousiasme qui l’animent à partager ses connaissances avec les étudiants. Le prix lui a été décerné le jeudi 17 mars dernier, lors de la Cérémonie de remise des bourses et des prix de la Faculté, en présence du vice-recteur aux études et aux activités internationales, M. Bernard Garnier, et d’une centaine de personnes dont les étudiants boursiers, des professeurs et des représentants d’organismes partenaires de la Faculté.
Le prix Enseignement de la FFGG vise à reconnaître publiquement l’excellence en enseignement à la Faculté.
Toutes nos félicitations!
Antoine Cogulet : boursier de la série Cogito 2016!
18 mars 2016
Félicitations à Antoine Cogulet, au doctorat en sciences du bois, qui se mérite le troisième prix (500$) dans le concours Cogito 2016.
Antoine est supervisé par le professeur Pierre Blanchet. Son doctorat porte sur la caractérisation des mécanismes naturels de vieillissement du bois. De plus il est membre du comité étudiant du CIRCERB en tant que VP communication.
Visionner l’émission et l’intervention d’Antoine Congulet (0 :00 à 9 :18)
À travers ce concours interfacultaire de vulgarisation, les chercheurs et les créateurs de l'Université Laval communiquent leur passion en présentant le fruit de leurs recherches. La première émission est déjà diffusée au Canal Savoir et sur le Web depuis mardi. Les autres émissions suivront dans les prochaines semaines.
Félicitations aux deux autres boursiers!
1er prix (1500$) : Félix Mathieu, faculté des sciences sociales
2e prix (1000$) : Bénédicte L. Tremblay, faculté des sciences de l'agriculture et de l'alimentation
Un étudiant de la maîtrise en biogéosciences de l’environnement présente son programme au Burkina Faso.
19 janvier 2016
Aubin Noel Deyizoma Bayala, étudiant à la maîtrise en biogéosciences de l’environnement a présenté son expérience à l’Université Laval aux élèves de son ancien lycée Wend Manegda à Ouagadougou au Burkina Faso. Il a présenté à plus de 90 élèves de Terminale son parcours d’études, son expérience à la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique, les possibilités de bourses, les procédures d’inscription, le programme de maîtrise en biogéosciences de l’environnement, le certificat en développement durable et bien plus encore.
Nous vous invitons à lire son témoignage :
"Une mention spéciale aux cours d'été de la maîtrise en biogéosciences de l'environnement: meilleurs cours de ma carrière d'étudiant!"
Je me nomme Aubin Noel Bayala, originaire du Burkina Faso. Je suis à Québec depuis plus de 6 ans et ça passe très vite! J’ai d’abord entamé un baccalauréat en agronomie que j'ai terminé quelques années plus tard. Ensuite, je me suis inscrit à la maîtrise en biogéosciences de l’environnement.
Originaire d’un pays tropical, composé d’une végétation de savane et d’un climat assez aride, l’environnement est un enjeu important pour mon pays. J’ai choisi ce programme, car j’aime tout ce qui se rapporte à l’environnement (développement durable, plantes, sols et animaux). C’est un programme d’avenir et surtout très utile pour les pays en voie de développement comme le mien. J’espère grâce au programme d’études supérieures en biogéosciences de l'environnement, acquérir assez de connaissances tant théoriques que pratiques dans le domaine de l’environnement. Apprendre comment le sauvegarder tout en utilisant de façon durable ses composantes. J’espère pouvoir apporter mon aide à des pays ou des régions en particulier à travers des organisations non gouvernementales (ONG) locales ou internationales et à travers des ministères ou tout organisme en lien avec l’environnement et le développement durable.
Une citation d'Anatole France dit : "On apprend sans doute des choses dans les livres, mais on apprend plus en voyant du pays." Mon séjour à Québec est avant tout un enrichissement sur le plan personnel. Au-delà de l'aspect professionnel, j'ai développé une plus grande ouverture d'esprit, une meilleure connaissance de l'Homme (et du Québécois bien sûr! :)). Des personnes qui sont (après avoir brisé la glace) des plus aimables et serviables. L'université offre beaucoup de soutien à ses étudiants. Un problème ou un souci? Il y a une personne ou un organisme ressource.
Mon programme est un des meilleurs que je connaisse à ce jour. Il offre une certaine liberté et flexibilité d'apprentissage. J’ai eu beaucoup de plaisir durant mes études. Les professeurs et responsables du programme sont toujours disponibles. Ils sont humains, car ils prennent le temps de t'écouter et de te comprendre. J’ai eu accès à un enseignement de qualité tout en étant diversifié. Une mention spéciale aux cours d'été, meilleurs cours de ma carrière d'étudiant. Une page ne serait pas assez suffisante pour décrire mon programme. Côté négatif? J’en cherche jusqu’à présent.
Le génie géomatique: un génie méconnu et d'avenir
14 janvier 2016
On parle du génie géomatique dans La Presse +! "Certains programmes de génie demeurent méconnus même s’ils existent depuis longtemps. Ils sont toutefois particulièrement pertinents pour bâtir le monde de demain."
Génie géomatique à l'Université Laval
Au coeur de l'innovation technologique
« Avec l’engouement pour les données géolocalisées, la cartographie en ligne et les appareils mobiles, le génie géomatique est au cœur de l’innovation technologique », affirme Stéphane Roche, vice-doyen à la recherche et aux études à la faculté de foresterie, de géographie et de géomatique de l’Université Laval.Les étudiants apprennent à concevoir des systèmes de collecte de données en considérant des besoins précis, à structurer les données récoltées, à les utiliser et à les partager. « Il y a de nombreux emplois de qualité dans le domaine et tous les finissants se trouvent un emploi, d’ailleurs, affirme Stéphane Roche. La géolocalisation est utile à toute organisation qui souhaite comprendre comment ses ressources, ses clients, ses patients et ses activités s’organisent sur un territoire. »
Création du programme : 2002
Nombre d’étudiants admis par année: 22
Source de l'article: Martine Letarte La Presse + Programmes non traditionnels: Du génie méconnu et d'avenir
Source photo: Martine Lapointe, Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique
Deux professeurs de la Faculté impliqués dans une des 10 découvertes de l'année de Québec Science.
08 janvier 2016
Chaque année, Québec Science met la loupe sur 10 découvertes exceptionnelles. Sélectionnée par un jury de journalistes et de scientifiques avertis, sur plus de 90 candidatures soumises pour l'année 2015, une avancée, faite dans les laboratoires de la Faculté des sciences de l’agriculture et de l’alimentation (FSAA) a été mise en lumière et impliquant deux professeurs de la Faculté de foresterie, de géographie et de géomatique.
La diplômée du programme de doctorat en microbiologie agroalimentaire, Salma Taktek, ses directeurs de recherche, les professeurs Hani Antoun (FSAA) et Yves Piché (FFGG) ainsi que le professeur émérite J. André Fortin ont découvert qu’il existe des associations naturelles entre les micro-organismes dans le sol qui permettraient aux plantes d’obtenir le phosphore dont elles ont besoin. C’est en associant certaines bactéries capables de dissoudre le phosphore naturellement présent dans le sol à un champignon, la mycorhize, que cette découverte pourrait bien lancer une révolution agricole et faire baisser la demande mondiale pour les engrais phosphatés.
Les principes et les techniques qui sont à la base des systèmes de production agricole actuels ont été conçus et sont appliqués comme si les mycorhizes n’existaient pas. Il faut donc repenser nos principes et nos techniques agricoles de demain, pour une nouvelle révolution verte. À cet effet, la FSAA a décidé d’organiser un colloque où la découverte sera présentée par Dre Salma Taktek et auquel des invités experts se joignent aux discussions pour alimenter la réflexion sur les mycorhizes et l’avenir de l’agriculture.
Votez pour cette découverte!
Pour en savoir plus:
Consultez l’article publié dans la revue Québec Sciences du 6 janvier 2016
Assistez gratuitement au Colloque Les mycorhizes et l’avenir de l’agriculture, ici et ailleurs, le 29 janvier prochain.
Lisez l’article Le bout du bout de la plante, publié dans Le Soleil, le 25 décembre 2015